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Un nouvel espace de jeux interactifs de folie vient d'ouvrir ses portes dans le 12e

Publié le 16 mars 2025 à 19h00

par Lucie Guerra

Vous cherchez une activité qui sorte de l’ordinaire à faire à Paris le temps d'un week-end, d'un anniversaire ou même pour un EVJF/EVG ? Ne bougez pas, on a ce qu’il vous faut. Exit les traditionnels musées, ou même escape games… Direction le 12e pour découvrir Active Room, le nouvel établissement de jeu parisien qui a ouvert ses portes le 22 février dernier. Ici, tout est interactif alors préparez-vous : il va falloir être particulièrement agile 

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Des expériences immersives à faire à plusieurs joueurs

En famille, entre collègues ou entre ami·e·s, Active Room vous ouvre ses portes à tout le monde et notamment aux petits à partir de 5 ans. On y profite en deux expériences immersives, Grid et Push, installées dans deux salles différentes. La première vous prolonge dans un univers coloré de 40 mètres carrés où il va vous falloir sauter sur les dalles interactives, en évitant les rouges pour rester en vie. Si The Grid se passe au sol, Push se déroule sur les murs : à vous de déterminer quels sont les boutons à enfoncer. Un jeu qui requiert de la mémoire et de la coopération.

Les sessions durent 20 minutes, se jouent de 2 à 8 joueurs et il vous sera largement possible d’explorer toutes vos capacités puisque plus de 40 niveaux sont accessibles. L’objectif est simple : marquer un maximum de points !


Direction le bar après l'effort

Après s’être dépensé en ayant couru et sauté partout, un rafraîchissement n’est pas de refus ! Et justement, Active Room a pensé à tout puisqu’un bar est à votre disposition. Bières, cocktails, et boissons non alcoolisées, ainsi que des pizzas vous sont servis. Et si l’envie vous prend de vouloir prolonger les festivités, à vous les fléchettes, le baby-foot ou les jeux de société. 

Active Room
6, place Léonard Bernstein — 12e
Du mercredi au vendredi de 18h à 22h
Le samedi de 11h à minuit et le dimanche de 11h à 20h
Tarifs : 13 € une partie, 23 € deux parties, 30 € trois parties (effectuées le jour même) 
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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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