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L’une des friperies les plus populaires de Paris dévoile sa nouvelle adresse

Publié le 7 février 2025 à 12h00

Modifié le 11 février 2025 à 09h32

par Flora Gendrault

« Consommer autrement, rehausser l’éthique et valoriser les vêtements de seconde main », tel est le défi que relève pour la cinquième fois BIS Solidaire en installant sa petite cadette dans le 14e. Save the date : dès le 13 mars, piquez une tête dans cette antre de la seconde main et dénichez les plus belles pièces issues des réserves de vos asso’ préférées. 

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Jamais 4 sans 5 

Déjà passée par Beaugrenelle (15e), BIS Solidaire choisit de s’implanter dans l’arrondissement voisin après avoir élu domicile de l’autre côté de la Seine, dans le Marais (4e), à Clichy (18e) et à Pigalle (9e). Nouveau cap pour cette chaîne de friperies incontournable aux désormais cinq points de vente, mais même concept : celui de proposer, depuis 2012, une sélection éclectique aux habits à la fois modernes et vintage afin de convenir à tous les styles. Et inclusive, s’il vous plaît : femmes, hommes et enfants ont évidemment leur rayon !


Une friperie humaine qui fait du bien 

Si BIS Solidaire se démarque des friperies – souvent hors de prix ! – qui pullulent autour de Châtelet, c’est aussi pour sa dimension sociale : pour Rémi Antoniucci, le gérant, il était fondamental d’associer seconde main et seconde chance en employant des personnes en situation de précarité

Détenue par des associations, cette entreprise pas comme les autres réinvestit ses profits directement dans des actions solidaires. Innovante, elle a mis en place une politique de sourcing responsable en s’approvisionnant uniquement auprès d’associations françaises, telles que la Croix Rouge. Une approche louable pour réduire son empreinte carbone tout en participant au financement de bonnes actions et emplois inclusifs. 


70 m2 de pépites vintage 

Ces quelques lignes vous donnent déjà envie d’organiser une session shopping sans aucune modération ? Pour dévaliser le dernier-né de BIS Solidaire, il faudra attendre la mi-mars. Mais promis : cette jolie boutique contemporaine, ses 70 m2 et son réassort quotidien aux 300 références valent le coup d’attendre. On s'y croise ? 


BIS Solidaire 

66, avenue du Général-Leclerc – 14e 
Ouverture le 13 mars
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Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié aujourd'hui à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
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