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DIY : Et si on se mettait tous au tricot ?

Publié le 20 octobre 2017 à 17h23

Modifié le 23 octobre 2017 à 11h39

par Benedicte

Longtemps jugé comme une activité de grand-mère, le tricot fait de plus en plus fureur dans les tutos DIY. Il décore nos intérieurs, réchauffe nos bras en plein hiver et nous donne tout de suite des envies cocooning. Sortez les aiguilles du placard de mamie, c'est le moment de laisser place à votre créativité ! 


Cet hiver, on se loverait bien volontiers dans une laine XXL ultra douce. Oui mais voilà, les pulls du marché ne sont pas tous très quali, ni accessibles. La solution ? créer soi-même son petit cocon. En plus de fabriquer votre propre cardigan, faire du tricot permettrait de réduire le stress et de garder le cerveau en bonne santé. Sur Internet, les tutos ne manquent pas pour s'exercer, mais nous, on a préféré faire confiance à la référence en la matière.


Chez we are knitters, impossible de perdre le fil ! Dans un joli kit ultra personnalisé, on reçoit pelotes, aiguilles et patrons selon son niveau. Pas besoin d'avoir des doigts de fée pour assurer. Cardigan, écharpe, couverture, bonnet... une multitude de possibilités s'offrent à vous à prix mini (dès 35€). Côté laine, on retrouve de très belles pelotes Alpaga ou du Pérou avec des couleurs toutes douces. Avec un tel choix, on aimerait avoir mille bras pour tout tricoter ! 

Vous manquez de pratique ? aucun problème ! Des vidéos explicatives sont disponibles sur le site, pour vous apprendre point par point l'art du tricot. Si vous voulez vous inspirer, direction la communauté des passionnés avec le hashtag #weareknitters

Le dernier tuto en ligne est hyper simple, et permet de maîtriser le Arm knitting, LA tendance de cet automne. Facile non ?



Et si on succombait à la tendance de cet hiver ? En plus en ce moment, il y a -25% de réduction sur le site weareknitters.fr. L'occasion de confectionner de ses mains un joli cadeau de Noël, non ?


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Évacuation sous tension à la Gaîté Lyrique : 450 jeunes migrants expulsés

Publié aujourd'hui à 14h00

par Flora Gendrault

Ce mardi matin, dans le froid parisien, la situation était particulièrement tendue aux abords de la Gaîté Lyrique, où manifestations, gaz lacrymogène et coups de matraque se sont mêlés. Peu avant 6 heures, les forces de l'ordre ont procédé à l’évacuation de ce lieu culturel emblématique, occupé depuis plus de trois mois par près de 450 jeunes migrants en quête d’un hébergement.


« La honte » 

Face aux policiers, une centaine de manifestant·es a tenté de s’interposer, scandant « La honte, la honte à ce pouvoir qui fait la guerre aux isolés ! ». Les forces de l’ordre ont répliqué en usant de gaz lacrymogène avant de pénétrer dans les lieux ; une démonstration de force jugée excessive, alors que peu de personnes se trouvaient encore à l’intérieur du bâtiment.

L’opération policière s’est achevée aux alentours de 8h30.  Selon Le Parisien, près de 200 personnes scandalisée par sa violence se sont rassemblées pour exprimer leur solidarité auprès des migrants, une nouvelle fois réprimées et dispersées à coups de matraques, nassage et de gaz lacrymogène. Plusieurs manifestant·es auraient chuté lors d’un mouvement de foule.


Quelles solutions d’hébergement ? 

La veille de l'évacuation, le préfet Laurent Nuñez assurait que des solutions d’hébergement seraient mises en place pour les jeunes migrants et que leur situation administrative ferait l’objet d’un examen attentif. Des agents de la préfecture d’Île-de-France, chargés de l’hébergement d’urgence et reconnaissables à leur chasuble rouge, étaient ainsi sur place ce mardi matin pour échanger avec eux. 

D’après la députée de gauche Danielle Simonnet, interrogée par Le Parisien, la préfecture a proposé de reloger les migrants à Rouen (Seine-Maritime). Une solution qu’elle juge « loin d’être satisfaisante, surtout pour ceux qui ont des procédures en cours à Paris et qui sont scolarisés ici ». La majorité des migrants a ainsi refusé d’embarquer dans les bus à destination, entre autres, de la Normandie. Pour l’instant, donc, l’incertitude demeure, laissant planer le spectre d’une errance forcée pour ces jeunes sans refuge. 


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