En 2020, Paris aura enregsitré plus de 2000 heures d'ensoleillement, du jamais vu depuis 1959. Le soleil a donc attendu une année confinée pour se mettre à briller dans une capitale où la moyenne d'ensoleillement est habituellement de 1661 heures par an. Une conséquence du réchauffement climatique ?
Un pic de chaleur en avril
Alors que nous étions, pour la plupart, enfermés dans notre 20 m2, la capitale a connu un pic de chaleur inédit au mois d'avril, enregistrant une température maximale de 27,1°. Ce mois de novembre, particulièrement doux, a lui aussi contribué à faire exploser le thermomètre. En effet, les Parisiens ont pu profiter d'une magnifique luminosité d'automne, notamment dans les parcs et jardins.
Un shot de sérotonine
Cet ensoleillement généreux a contribué, malgré une année compliquée, à nous rendre plus heureux. Comme vous le savez sûrement, lorsqu’il fait beau, la lumière est captée par la cornée et par la peau. Le nerf optique émet ensuite des signaux électriques au cerveau pour demander la production de sérotonine, l’hormone du bonheur. Alors, à vos fenêtres, vos balcons, vos terrasses (ouuuh les chanceux), vos parcs et jardins voisins pour profiter de cette année ultra ensoleillée qui n'est pas encore terminée...
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