La chanteuse Afida Turner souhaite tomber enceinte de son défunt mari Ronnie Turner. Endeuillée et malheureuse depuis son décès, elle voit à travers cette décision une lueur d’espoir dans sa tristesse cauchemardesque quotidienne.
« Je vais avoir le bébé de Ronnie ! » Afida Turner a exprimé son désir de maternité dans un article du média américain People. Mais on commence à connaître le tempérament de la chanteuse, ses décisions ne sont jamais ordinaires et celle-ci ne fait pas exception à la règle. Elle souhaite porter le bébé de son défunt mari Ronnie Turner, fils de la star du rock’n’roll décédée en mai 2023, Tina Turner.
Un cauchemar depuis plusieurs mois
L’interprète française âgée de 46 ans vit une période sombre depuis la mort de Ronnie. Elle précise dans l’article de People que «c'est une punition… Matin et soir, je pleure et je crie. Ma vie à Los Angeles est devenue un cauchemar, un vrai cauchemar». Décédé en décembre 2022 suite à des complications liées à un cancer du côlon, Ronnie Turner laisse derrière lui la chanteuse dévastée. « Je suis toujours très déprimée et je pense à des choses mauvaises et sombres. Je souffre et mon cœur est détruit », poursuit-elle dans son émouvant témoignage.
Avant sa mort, le fils de la reine du rock’n’roll et Afida Turner ont respectivementchacun congelé du sperme et des ovules. Ronnie a fait ce geste « en guise de cadeau d’anniversaire » avant de succomber à son cancer. La chanteuse française voit alors à travers ce cadeau l’opportunité d’aller de l’avant et d’honorer le souhait de paternité de son défunt mari. « J’ai 46 ans, mais on verra », conclut-elle, optimiste, les yeux rivés sur cette année qui lui apportera peut-être un nouveau-né !
Avec l'arrivée du soleil et l'approche des grandes vacances, on rêve d'ailleurs. Pour voyager tout en restant dans la capitale, on vous a concocté une liste do braziou ! Voici les meilleurs restaurants brésiliens de Paris, à déguster sans modération.
Mexicaine, grecque, italienne, thaïlandaise... Paris regorge de cuisines singulières venues des quatre coins du monde. Et quand on rêve d'une petite escapade gastronomique, le Brésil et ses plats riches et goûtus nous vient tout de suite en tête. Alors, tenté·e ?
Gabriela
En poussant les portes vertes de Gabriela, on entre dans une véritable jungle urbaine. Le restaurant-épicerie s'illustre telle une favelas, haute en couleur et en saveur. Sur place ou à emporter, on déguste par exemple le fameux Feijoada,plat national brésilien à base de porc, haricot noir, riz et chou vert, ou le Vatapá, une crème au lait de coco, gingembre et épices accompagnée de gambas sautées. Pour les petites faims ou en entrée, on retrouve une multitude de "Petiscos" comme les frites de manioc (Mandioca frita), ou les célèbre petits pains au fromage (pão de queijo).
Envie de chaleur ? Brasileirinho fait monter la température, ambiance carnaval de Rio. Entre tradition et innovation, les classiques (revisités ou non) de la cuisine brésilienne sont tous à la carte. Pas de lianes ou de sables d'Ipanema pour la décoration, mais le soleil est bien dans les assiettes. Le petit plus : le week-end, des musiciens locaux assurent le show.
Ce petit restaurant importe la chaleur brésilienne avec sa cuisine traditionnelle et ses sons dansants. On retrouve la lambada dans les assiettes : des couleurs, des saveurs, des assiettes généreuses. Ne comptez pas sur le décor épuré et ses canapés chesterfield pour vous faire voyager en Amérique du Sud, tout se passe en cuisine !
Pour leur premier resto, Lucas Baur de Campos et Ninon Camille Lecomte, couple franco-brésilien, avaient un objectif : « Mettre à l'honneur la culture du bœuf cuit au BBQ comme ils font en Uruguay notamment ». Originaires du sud du Brésil, à la frontière entre l'Uruguay et l'Argentine, les deux cuistots voulaient ramener à Paris ce côté « feu de bois, BBQ»qui manque à notre cuisine parisienne. L'idée ? Utiliser des produits locaux et y apporter une touche brésilienne, uruguayenne et argentine. Simple, efficace et terriblement goûtu. Pour en savoir plus, rendez-vous sur leur page Facebook.
À la recherche d'un restaurant de viande à volonté ? Votre investigation prend fin ici. Chez Rodizio, la viande, c'est sacré. Il vous faudra vous rendre à Colombe pour profiter de ces mets grillés à la broche : rumsteack, poulet, agneau... Tous les viandards seront à coup sûr comblés. L'expérience culinaire brésilienne s'accompagne d'une explication autour du rodizio, qui vient du verbe "rodar" en portugais qui signifie "tourner". Ah oui, dernière info mais pas des moindres : ce restaurant brésilien est aussi halal.
Direction la Rive Gauche pour profiter de plats gourmands et de soirées festives. Au menu, des tapas à partager, mais aussi des plats individuels traditionnels : Feijoada, Maoqueca de Camarao, Xinxim de Galinha et on en passe. Des noms exotiques qui, on vous l'assure, vont vous faire saliver et qui s'associent à merveille avec la musique live et les soirées DJ régulièrement organisées.