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Astrologie : Ces 3 signes vont (enfin) trouver l’amour en 2022

Publié le 5 novembre 2021 à 11h37

Modifié le 5 novembre 2021 à 11h57

par Morgane Espagnet

Taureau

Lorsqu’un Taureau tombe amoureux, toute sa vie s’illumine et prend un nouveau sens. Entre janvier et avril 2022, votre fibre romantique sera exaltée et la recherche du partenaire idéal sera votre grand objectif. Un peu d’exigence ne fait pas de mal quand on a besoin de se projeter raisonnablement dans le futur. L’entente fusionnelle devra donc primer. Début septembre, vous retrouverez des relations authentiques et tout ce que vous ferez, vous le ferez avec amour. C’est précisément ce qu’il faut retenir !

 
Gémeaux

C'est l’hiver, vous avez envie de vous blottir sous la couette et vos hormones sont en ébullition, bref, vous n’avez plus qu’une idée en tête : baiser trouver l’amour bien sûr ! Entre mai et octobre 2022, vous séduirez avec une fougueuse détermination et on ne voit pas qui pourrait résister à votre charme naturel. Cédez donc au coup de foudre et profitez à fond de cette période intense émotionnellement. À partir d'octobre, vous ressentirez le besoin de vous poser et vos rencontres deviendront bien plus sélectives. Nous on dit ça, c'est pour votre bien, qu'on soit bien d'accord.

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Poissons

Nos petits Poissons sont capables de grandes choses en amour. Généreux, doux et fidèle, l’engagement ne vous fait pas peur. Entre janvier et avril 2022, l’amour sera votre plus grosse affaire. Ça tombe bien, avec toutes ces planètes en Poissons, il y aura de l’amour comme s’il en pleuvait ! Profitez-en, testez, expérimentez, mais ne restez pas dans vos vieux schémas vus et revus. Allez, tournez la page, maintenant tout est possible !

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La série Adolescence sera diffusée dans les collèges et lycées britanniques

Publié hier à 20h00

par Flora Gendrault

Downing Street l’a officiellement annoncé en début de semaine : la mini-série Adolescence, sur toutes les lèvres depuis sa sortie, sera bel et bien diffusée gratuitement dans les collèges et lycées britanniques. Une mesure initiée par le Premier ministre Keir Starmer lui-même, qui avait publiquement pris la parole pour vanter les mérites d’un programme extrêmement bien mené et instructif, soulevant des questions sociétales cruellement d'actualité


Prouesses technique et scénaristique  

Adolescence a beau n’être sortie qu’à la mi-mars, c’est peut-être déjà la meilleure série de l’année. En débarquant sur Netflix, et sans avoir pourtant fait l’objet d’une campagne promotionnelle démesurée, elle a immédiatement reçu un accueil extrêmement favorable de la presse et des spectateur·rices, et ce aux quatre coins du globe. 

Un coup de maître des créateurs, Jack Thorne et Stephen Graham, lesquels sont parvenus à mettre en scène de manière magistrale les causes et conséquences du meurtre de Kathy, adolescente de 13 ans, poignardée à de multiples reprises par Jamie, un camarade de classe du même âge. Le tout en (seulement) quatre épisodes tournés intégralement en plan-séquence, renouvelant ainsi cette technique largement exploitée au cinéma, moins sur le petit écran, autour d’un récit nerveux traitant de thématiques liées à la jeunesse. 


Dénoncer la spirale du masculinisme
 

Ces thématiques, quelles sont-elles ? Le harcèlement scolaire, la construction de genre sur les réseaux sociaux, et notamment la culture "incel", ces hommes involontairement célibataires qui accusent les femmes de les rejeter. Dans Adolescence, en immersion au cœur d’un commissariat, puis d’une école, et enfin d’une maison de famille, on comprend que Jamie (époustouflant Owen Cooper, nouveau prodige du milieu), élevé à la dure, impopulaire, s’est peu à peu enfermé dans la spirale du masculinisme, jusqu’à commettre un féminicide. Une misogynie alimentée par son activité sur Internet, où se créent de nombreuses communautés réactionnaires, séduites par la théorie du 80/20 d’Andrew Tate, selon laquelle 80% des femmes ne seraient attirées que par 20% des hommes. 


De l’ordinateur au Parlement 

Au Royaume-Uni, terre de tournage mais aussi théâtre d’attaques de même nature ces dernières années, Adolescence a connu une résonnance toute particulièrement. Jusqu’à dépasser les frontières de l’écran : la série a ravivé le débat sur l’utilisation des téléphones, mais aussi sur l’éducation, levier essentiel pour déconstruire les idéologies véhiculées sans régulation sur le web. Diffuser Adolescence au palais de Westminster ainsi que dans les collèges et lycées depuis une plateforme partenaire à Netflix, comme l’avaient publiquement encouragé la députée travailliste Anneliese Midgley, puis Keir Starmer, en marque la première étape. 

« C'est une initiative importante pour encourager le plus grand nombre possible d'élèves à regarder le programme », a déclaré le Premier ministre, qui a lui-même vu la série avec ses enfants adolescents, comme 66 millions de personnes en deux semaines sur Netflix. Un record pour une mini-série britannique ! 


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