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Le champion de France de sushis ouvre un pop up store à Paris

Publié le 21 août 2023 à 14h34

Modifié le 21 août 2023 à 15h27

par Heloise Pitot

Sushi, chirashi, california, ou encore maki, on raffole de cuisine japonaise ! Mais c’est encore mieux quand on peut les choisir et les déguster spécialement concoctés par le champion de France de sushis 2023. Le Chef Vincent Broggi a ouvert un pop up store pour finir l’été en beauté jusqu’au 1er septembre 2023. Un endroit où le plaisir gustatif sera assuré ! 


Vincent Broggi, champion de France de sushis 2023

Le cuisinier originaire de Dijon gagnait en avril dernier le championnat de France de sushis lors du salon Japon Food show de Paris. Ce titre met en avant son talent incontestable pour la cuisine nippone et le pousse à ouvrir son premier stand éphémère dans la capitale pour notre plus grand plaisir.

Des sushis personnalisés 

Installé au 240, rue du Faubourg-Saint-Honoré dans le 8e, le pop up store Elka de Vincent Broggi nous met l’eau à la bouche. Ici pas de carte, les boxes sont préparées seulement selon nos envies et nos préférences. On choisit sur place ses toppings et ses sauces, et évidemment tout est confectionné maison et sous nos yeux. En ce qui concerne les prix, les boxes sont à dévorer pour 16€.

On ne sait pas vous mais nous, en cette fin d'été, on a bien mérité de goûter les meilleurs sushis de France !

Elka, pop up store de Vincent Broggi
240, rue du Faubourg-Saint-Honoré – 8e
Jusqu’au 1er septembre 2023

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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