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Avoir un chien augmenterait votre espérance de vie

Publié le 27 mars 2019 à 16h24

Modifié le 27 mars 2019 à 16h59

par Juliette Darmon Martinet

Amis dog lovers, voilà une nouvelle qui devrait émerveiller votre journée : avoir un chien augmente l’espérance de vie, et oui, c’est prouvé ! 


Les chiens ont-ils un rôle à jouer dans la santé des humains ? C’est justement la question que se sont posée des chercheurs suédois dans le but de mener à bien une grande étude à ce propos, publiée dans la revue Scientific Reports. Et les résultats montrent justement que les propriétaires de chiens ont une meilleure espérance de vie ! L’explication ? Ils seraient moins exposés aux maladies cardio-vasculaires. Une étude de taille puisqu’il s’agit d’un échantillon de plus de trois millions d’adultes âgés de 40 à 80 ans, et d’un travail étalé sur une période de douze ans !

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Pas si étonnant après tout, les chiens sont bien les meilleurs amis de l’Homme non ? Ils font du bien au moral, nous comblent d’amour et d’affection et réduisent même les risques de maladies cardio-vasculaires de 23% ! Les propriétaires de chiens auraient donc une meilleure tension artérielle et caresser leur animal réduirait également le stress. Bien que plusieurs hypothèses soient envisagées pour expliquer ce phénomène, la vraie raison reste encore méconnue.

Le chien est reconnu pour ses bienfaits depuis toujours, on ne vous apprend rien ! Alors que les personnes handicapées mentales et physiques sont souvent soutenues par cet animal merveilleux, des crèches commencent même à développer des ateliers avec des chiens et ont pu observer que les enfants étaient plus éveillés lorsqu’ils interagissaient avec des chiens.

En clair, si vous avez un chien, remerciez-le, votre espérance de vie est supérieure grâce à lui ! Et si vous n’en avez pas, c’est justement une raison de plus pour accueillir une petite boule de poils dans votre famille !

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Évacuation sous tension à la Gaîté Lyrique : 450 jeunes migrants expulsés

Publié aujourd'hui à 14h00

par Flora Gendrault

Ce mardi matin, dans le froid parisien, la situation était particulièrement tendue aux abords de la Gaîté Lyrique, où manifestations, gaz lacrymogène et coups de matraque se sont mêlés. Peu avant 6 heures, les forces de l'ordre ont procédé à l’évacuation de ce lieu culturel emblématique, occupé depuis plus de trois mois par près de 450 jeunes migrants en quête d’un hébergement.


« La honte » 

Face aux policiers, une centaine de manifestant·es a tenté de s’interposer, scandant « La honte, la honte à ce pouvoir qui fait la guerre aux isolés ! ». Les forces de l’ordre ont répliqué en usant de gaz lacrymogène avant de pénétrer dans les lieux ; une démonstration de force jugée excessive, alors que peu de personnes se trouvaient encore à l’intérieur du bâtiment.

L’opération policière s’est achevée aux alentours de 8h30.  Selon Le Parisien, près de 200 personnes scandalisée par sa violence se sont rassemblées pour exprimer leur solidarité auprès des migrants, une nouvelle fois réprimées et dispersées à coups de matraques, nassage et de gaz lacrymogène. Plusieurs manifestant·es auraient chuté lors d’un mouvement de foule.


Quelles solutions d’hébergement ? 

La veille de l'évacuation, le préfet Laurent Nuñez assurait que des solutions d’hébergement seraient mises en place pour les jeunes migrants et que leur situation administrative ferait l’objet d’un examen attentif. Des agents de la préfecture d’Île-de-France, chargés de l’hébergement d’urgence et reconnaissables à leur chasuble rouge, étaient ainsi sur place ce mardi matin pour échanger avec eux. 

D’après la députée de gauche Danielle Simonnet, interrogée par Le Parisien, la préfecture a proposé de reloger les migrants à Rouen (Seine-Maritime). Une solution qu’elle juge « loin d’être satisfaisante, surtout pour ceux qui ont des procédures en cours à Paris et qui sont scolarisés ici ». La majorité des migrants a ainsi refusé d’embarquer dans les bus à destination, entre autres, de la Normandie. Pour l’instant, donc, l’incertitude demeure, laissant planer le spectre d’une errance forcée pour ces jeunes sans refuge. 


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