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Une comète géante visible dans le ciel de Paris cette semaine

Publié le 12 mars 2024 à 17h55

Modifié le 12 mars 2024 à 18h23

par Clémence Varène

Si vous êtes né·e après le début des années 50 (et on imagine que vous êtes plus d'un), nous sommes ravis de vous apprendre que vous êtes en train de vivre un événement unique dans votre vie ! le passage dans le ciel de la comète du Diable (aussi connue sous le nom de 12P/Pons-Brooks, bien évidemment), visible depuis la Terre, juste à côté de la constellation d'Andromède. Bon avec l’aide d’un petit télescope, mais quand même !


Une expérience unique (littéralement)

La dernière fois qu’on l’avait aperçue dans le ciel, c’était en 1954. La prochaine fois qu’elle fera son retour, nous serons en 2095. C’est donc un phénomène d’une rareté incroyable que nous sommes en train de vivre, et il serait bien dommage de passer à côté, si vous voulez notre avis. Le corps céleste traversera le ciel jusqu'au début du mois de juin, où il disparaîtra complètement de notre champ de vision. 

Pour l’instant, pas encore assez lumineuse, la comète du diable est invisible à l’œil nu. Mais si vous vous munissez d’un petit télescope, il est fort probable que vous la voyiez passer dans le ciel, juste après le coucher du soleil. Mais l'astre, qui mesure tout de même plus de 30 km de diamètre, est en train de se rapprocher du soleil, de briller de plus en plus, et donc devrait être de plus en plus facilement repérable.

Et si vous tentez l'expérience (de préférence en dehors de la ville, pour éviter la pollution lumineuse et habituer vos yeux à l'obscurité), vous pourrez difficilement vous tromper, car la comète est extrêmement reconnaissable. Elle diffuse une lumière verte, et laisse derrière elle deux étranges traînées, telles des petites cornes (d’où son surnom de comète du diable). Allez, on sort les jumelles, et on se lance dans l’astrophysique.

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par Lucie Guerra

Alors que les nouveaux restaurants étoilés viennent tout juste d’être dévoilés par le Guide Michelin 2025, l’Ipsos s’est intéressé au rapport qu’entretiennent les Français·e·s avec la gastronomie nationale. Loin d’être en perdition, l'étude publiée le 31 mars 2025, révèle que 92 % des Français·e·s ont une bonne opinion de la gastronomie française et que 71 % mangent des plats traditionnels au moins une fois par semaine. L’entreprise de sondages dévoile également quels sont les plats français qui représentent le plus l’hexagone dans le monde. Visiblement, le sud-ouest est la région qui a le plus visibilité à l'échelle mondiale d'un point de vue gastronomique. 


Les 10 plats qui représentent le mieux la France

Le sud-ouest, la région lyonnaise, la Bretagne, suivies de l’Alsace et la Bourgogne… Voici les régions citées comme étant les plus gastronomiques de France. L’étude a poussé l'analyse plus loin en se concentrant sur les plats les plus renommés. C’est sans conteste le bœuf bourguignon qui serait le plat qui représenterait le mieux la France à travers le monde. Il est suivi du cassoulet et de la blanquette de veau qui complètent le top 3. Le confit de canard, la choucroute  garnie, les crêpes et galettes, la raclette, le pot-au-feu, les escargots de Bourgogne et la bouillabaisse rejoignent le top 10. Ce sont enfin le coq au vin, la quiche lorraine, le gratin dauphinois, la fondue savoyarde, la tartiflette, les moules marinières, la ratatouille, la soupe à l’oignon, la carbonade flamande, la salade niçoise et le steak tartare qui complètent la liste mise en avant par l’étude Ipsos.


Cyril Lignac, chef préféré des Français·e·s

Les chef·fe·s ont également été mis à l’honneur dans cette étude. D’après les Français·e·s interrogé·e·s, Cyril Lignac, Philippe Etchebest et Alain Ducasse sont les trois favoris. Anne-Sophie Pic arrive en quatrième position et s’illustre comme la première femme du classement, accompagnée par Hélène Darroze en sixième place. Thierry Marx, Christophe Michalak, Guy Savoy, Marc Veyrat, Michel Troisgros, Pierre Gagnaire, Jean-François Piège, Yannick Alléno, Mory Sacko, Éric Frechon et Alain Passard ont également été désignés par les sondé·e·s. 

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