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Cooltra lance son service de location de scooters électriques en libre-service à Paris

Publié le 28 septembre 2021 à 09h30

Modifié le 28 septembre 2021 à 09h34

par Antoine Lebrun

Fondée en 2006 à Barcelone, Cooltra s’est depuis imposée comme le leader du marché européen de mobilité durable sur deux roues. Et après avoir lancé son son service location de scooters électriques en Espagne, au Portugal et en Italie, Cooltra s’est implantée en France, précisément à Paris, depuis le 21 juin 2021. Avec une flotte de 2 000 scooters déjà répartis aux quatre coins de Paris intra-muros, l’entreprise développe son influence dans la capitale à vitesse grand V.

Le concept Cooltra est simple et efficace : des scooters de la marque italienne Askoll équipés de pneus grande taille (pour plus de stabilité de conduite) à louer à la minute et disponibles en libre-service 24/7 dans Paris. Pour débuter une course en scooter Cooltra, il suffit de télécharger l’application gratuite, de réserver le véhicule le plus proche et de balayer votre écran vers le haut à proximité du bolide dans les 15 minutes suivants la réservation. Aucun code à saisir, pas de clefs, pas de bornes, pas de recharges mais une autonomie totale !

Une expérience client remarquable

Pour garantir un service premium, Cooltra a pensé à tous les petits détails : si vous ne trouvez pas le scooter que vous avez réservé, le bouton « BIP-BIP » de l’application permet d’activer le klaxon du véhicule, vous permettant ainsi de le localiser immédiatement. Pour chaque course, la société met deux casques à disposition pour que vous puissiez transporter une personne avec vous en toute sécurité. Une fois le scooter déposé, il suffit de télécharger une photo du deux-roues bien garé pour mettre fin au trajet.

À l’heure actuelle, Cooltra compte plus d’1,5 million d’utilisateurs satisfaits à travers Madrid, Barcelone, Valence, Lisbonne, Rome et Milan. Cerise sur le gâteau : vous pouvez utiliser le solde de votre compte Cooltra pour vous déplacer dans les 7 villes européennes couvertes. L’importance de l’éco-mobilité dans la ville de Paris ne devrait qu’accroître ces résultats dans les prochaines semaines. Alors pour vos prochains trajets pour aller au boulot, chez des potes ou n’importe où ailleurs, n’hésitez plus et opter pour une société d’avenir largement impliquée dans le développement durable !

CADEAU : On vous offre 12 euros de crédits pour toute première connexion sur l’app avec le code BONBON12

Télécharger l’appli Cooltra sur AppStore et sur Android


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Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié hier à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
Plus d’infos


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