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Covid-19 : des autotests seront dispos en grande surface dès ce week-end

Publié le 17 mars 2021 à 16h31

Modifié le 17 mars 2021 à 16h56

par La Rédac'

A priori, c’est une excellente nouvelle qui devrait permettre d'accélérer pas mal les choses. On ne va pas se mentir, le test PCR qui livre un résultat deux jours après c’est moyen.

Un résultat sous 30 minutes

Alors que la Haute Autorité de Santé a donné son feu vert le mardi 16 mars pour une commercialisation des autotests, Carrefour s’est empressé d’en commander plus d’un million. Plus rapides et moins douloureux, les autotests seront disponibles dès ce week-end en libre service dans les rayons de parapharmacie. 

Les autotests seront vendus par boîte de 20 tests à 40€, soit 2€ l’unité. Ils pourront être utilisés par des personnes asymptomatiques dès 15 ans. Et contrairement aux tests réalisés par des professionnels, avec les autotests inutile de s’enfoncer le coton-tige jusqu’au fond du nez puisqu’ils recueillent leur échantillon à la surface du nez, c'est-à-dire à 3-4 cm. Il suffit ensuite de placer l’écouvillon dans un tube qui contient un tampon d’extraction et d’attendre moins de 30 min. Une réaction antigène/anticorps se produit si le virus est présent dans le prélèvement et fait alors apparaître une ligne colorée, ce qui signifie que le résultat est positif. Reste à savoir si les tests seront fiables.

Attention aux embouteillages dans les grandes surfaces ! 

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Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié aujourd'hui à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
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