Dans une story postée sur Instagram, l’influenceuse EnjoyPhoenix, suivie par près de 6 millions de personnes sir Insta, a fait la promotion d’un « passeur d’âmes » auquel elle a fait appel pour purifier sa maison. Une publicité qui pose problème.
Dans une story postée ce dimanche, l’influenceuse aux 6 millions d’abonnés sur Instagram, EnjoyPhoenix, a révélé avoir fait appel à un « passeur d’âmes » afin de purifier la maison dans laquelle elle s’apprête à débuter des travaux. Et comme il est coutume de faire sur Instagram, EnjoyPhoenix a identifié le compte du passeur d’âmes qu’elle a contacté afin de permettre à ses abonnés d’aller visiter son profil et pourquoi pas de le suivre à leur tour.
Une promotion qui a du mal à passer pour certains followers qui s’indignent d’une telle mise en avant. Sorte de médiums, les passeurs d’âme affirment être en mesure de remettre les âmes égarées sur le chemin de la lumière. En clair : ils prétendent pouvoir purifier un intérieur en supprimant les esprits malfaisants. Des exorcistes quoi.
L'influenceuse @enjoyphoenix fait la promo d'un passeur d'âme qui nettoie énergétiquement les maisons. Ces gens sont des dangers publics pour la jeunesse.
L’occultisme, nouvelle dérive de la jeune génération
« Ils peuvent même venir en France pour nettoyer vos foyers, je recommande les yeux fermés vraiment, je ne me sentais pas capable de le faire moi-même et je suis vraiment soulagée », explique la Youtubeuse dans sa story. Le compte mis en avant est celui d’un certain Martin Passeur d’âmes, suivi par près de 10 000 followers. Un « professionel » qui se présente comme un maître de la lithothérapie (pratique basée sur la croyance en un pouvoir qu’auraient certaines pierres), le tirage de cartes ou encore l’équilibrage de chakras.
Et si cette story pose problème, c’est surtout parce que la jeune génération est de plus en plus attirée par l’occultisme. Dans un sondage Ifop réalisé pour la Fondation Reboot et la Fondation Jean-Jaurès la semaine dernière, on s’aperçoit que les jeunes de 18 à 24 ans ont une méfiance grandissante envers la science et se dirige de plus en plus vers des « vérités alternatives » et l’occultisme.
Avec l'arrivée du soleil et l'approche des grandes vacances, on rêve d'ailleurs. Pour voyager tout en restant dans la capitale, on vous a concocté une liste do braziou ! Voici les meilleurs restaurants brésiliens de Paris, à déguster sans modération.
Mexicaine, grecque, italienne, thaïlandaise... Paris regorge de cuisines singulières venues des quatre coins du monde. Et quand on rêve d'une petite escapade gastronomique, le Brésil et ses plats riches et goûtus nous vient tout de suite en tête. Alors, tenté·e ?
Gabriela
En poussant les portes vertes de Gabriela, on entre dans une véritable jungle urbaine. Le restaurant-épicerie s'illustre telle une favelas, haute en couleur et en saveur. Sur place ou à emporter, on déguste par exemple le fameux Feijoada,plat national brésilien à base de porc, haricot noir, riz et chou vert, ou le Vatapá, une crème au lait de coco, gingembre et épices accompagnée de gambas sautées. Pour les petites faims ou en entrée, on retrouve une multitude de "Petiscos" comme les frites de manioc (Mandioca frita), ou les célèbre petits pains au fromage (pão de queijo).
Envie de chaleur ? Brasileirinho fait monter la température, ambiance carnaval de Rio. Entre tradition et innovation, les classiques (revisités ou non) de la cuisine brésilienne sont tous à la carte. Pas de lianes ou de sables d'Ipanema pour la décoration, mais le soleil est bien dans les assiettes. Le petit plus : le week-end, des musiciens locaux assurent le show.
Ce petit restaurant importe la chaleur brésilienne avec sa cuisine traditionnelle et ses sons dansants. On retrouve la lambada dans les assiettes : des couleurs, des saveurs, des assiettes généreuses. Ne comptez pas sur le décor épuré et ses canapés chesterfield pour vous faire voyager en Amérique du Sud, tout se passe en cuisine !
Pour leur premier resto, Lucas Baur de Campos et Ninon Camille Lecomte, couple franco-brésilien, avaient un objectif : « Mettre à l'honneur la culture du bœuf cuit au BBQ comme ils font en Uruguay notamment ». Originaires du sud du Brésil, à la frontière entre l'Uruguay et l'Argentine, les deux cuistots voulaient ramener à Paris ce côté « feu de bois, BBQ»qui manque à notre cuisine parisienne. L'idée ? Utiliser des produits locaux et y apporter une touche brésilienne, uruguayenne et argentine. Simple, efficace et terriblement goûtu. Pour en savoir plus, rendez-vous sur leur page Facebook.
À la recherche d'un restaurant de viande à volonté ? Votre investigation prend fin ici. Chez Rodizio, la viande, c'est sacré. Il vous faudra vous rendre à Colombe pour profiter de ces mets grillés à la broche : rumsteack, poulet, agneau... Tous les viandards seront à coup sûr comblés. L'expérience culinaire brésilienne s'accompagne d'une explication autour du rodizio, qui vient du verbe "rodar" en portugais qui signifie "tourner". Ah oui, dernière info mais pas des moindres : ce restaurant brésilien est aussi halal.
Direction la Rive Gauche pour profiter de plats gourmands et de soirées festives. Au menu, des tapas à partager, mais aussi des plats individuels traditionnels : Feijoada, Maoqueca de Camarao, Xinxim de Galinha et on en passe. Des noms exotiques qui, on vous l'assure, vont vous faire saliver et qui s'associent à merveille avec la musique live et les soirées DJ régulièrement organisées.