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Grèves du mardi 7 février : quelles lignes sont les plus impactées ?

Publié le 6 février 2023 à 11h19

Modifié le 6 février 2023 à 11h44

par Sarah Leris

Mardi, privilégiez le télétravail si vous le pouvez ! En cette troisième journée de grève contre la réforme des retraites, les perturbations pourraient être les mêmes que les fois précédentes. À la SNCF, de nombreux trains seront supprimés, de même pour les TER. Concernant la RATP, voici les prévisions ligne par ligne.


Métro

Ligne 1 et 14 : aucune perturbation mais la ligne 14 fermera à 22h

Ligne 2 : 1 train sur 3 de 6h30 à 20h

Ligne 3 : 1 train sur 3 de 6h30 à 9h30 et de 16h30 à 19h30

Ligne 3 bis : trafic normal (aussi improbable que ça puisse paraître)

Ligne 4 : 1 train sur 2 toute la journée

Ligne 5 et 6 : 1 train sur 3 de 5h30 à 20h

Ligne 7 et 7 bis : 1 train sur 3 de 6h à 22h

Ligne 8 : 1 train sur 3 uniquement entre Créteil-Pointe du Lac et Reuilly-Diderot de 6h30 à 9h30 et de 16h30 à 19h30

Ligne 9 : 2 trains sur 3 le matin et 1 train sur 2 l’après-midi, de 5h30 à 20h30

Ligne 10 : 1 train sur 3 de 6h30 à 9h30 et 1 train sur 2 de 16h30 à 19h30

Ligne 11 : 1 train sur 2 de 6h00 à 11h00 et 1 train sur 4 de 16h30 à 19h30

Ligne 12 : 1 train sur 3 de 5h30 à 20h30

Ligne 13 : 1 train sur 3 uniquement entre Saint-Denis-Université et Asnières-Genevilliers / Les Courtilles et Montparnasse-Bienvenüe de 6h30 à 9h30 et de 16h30 à 19h30

RER

RER A : 1 train sur 2, trafic fortement perturbé

RER B : 1 train sur 3 aux heures de pointe et 1 train sur 2 aux heures creuses au nord de Châtelet-Les Halles (avec fermeture entre Gare du Nord et Aéroport Charles de Gaulle 2 - Mitry Claye à partir de 22h45, pour travaux) et 1 train sur 2 toute la journée au sud de Châtelet-Les Halles

RER C : 1 train sur 3

RER D : 1 train sur 6. Aucun train entre Châtelet-Les Halles et Gare de Lyon, aucune circulation sur les axes Malesherbes-Corbeil-Juvisy via Ris-Orangis et Corbeil-Melun.

RER E : 2 trains sur 5

Tramway : Trafic normal sur toutes les lignes

Bus : 4 bus sur 5, trafic relativement normal

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié aujourd'hui à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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