Ce dimanche 25 juillet 2021, la ville de Dunhuang au nord-ouest de la Chine s’est vue engloutir par une impressionnante tempête de sable. La surprise fut immense pour les habitant·e·s de cette ville chinoise, quand un mur de sable de plus de 100 mètres s’est abattu sur la ville, empêchant de voir à plus de 5 mètres. Difficile de conduire dans ces conditions… La police a donc dû intervenir pour aider les automobilistes dans cette zone dans laquelle ces phénomènes se multiplient à cause de la proximité du désert de Gobi.

En images. Une tempête de sable engloutit une ville chinoise !
Entre les inondations, les incendies, les pandémies et les tempêtes de sable... on croirait presque à l’apocalypse.

Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril
Publié aujourd'hui à 20h00
par Flora Gendrault
En l’honneur du 97e anniversaire de la naissance de Serge Gainsbourg, un cycle de projections cinématographiques va être lancé dans son ancienne maison transformée en musée depuis 2023.
Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci.
J’ai visité la petite maison de Gainsbourg.
En cinquante ans, rien n’a bougé.
Il ne manque qu’une chose essentielle: lui.
Gainsbourg rue de Verneuil - 1973 pic.twitter.com/5HLyUk5BtW— Geronimo (@artyshowboy) December 3, 2023Abonne-toi à la newsletter pour rester connecté !
L’empreinte Gainsbourg au cinéma
Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.
Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.
À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre.
Anna Karina & Serge Gainsbourg in "Anna" 1967
— oui cinéma (@ouicinema) December 16, 2024
dir. Pierre Koralnik pic.twitter.com/SnPyUqVCDA
Associer la rencontre à l’image
Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg.
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La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e
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