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Un immense marché de Noël japonais débarque à Paris

Publié le 17 octobre 2023 à 17h08

Modifié le 17 octobre 2023 à 18h49

par Maria Sumalla

Non, il n’est jamais trop tôt pour parler de Noël ! parce qu’on adore ce moment féérique foisonnant de guirlandes lumineuses, de cadeaux pleins d’amour et de gourmandises hyper régressives. Oui, il nous a suffi d’une simple journée à moins de 20 degrés pour nous mettre à rêver à nouveau de cette période, mais en même temps, on a une nouvelle qui devrait enjailler absolument tout le monde (et surtout les fans de culture nippone). Cette année, pour Noël, la Cité Fertile nous fait voyager jusqu’au pays du Soleil-Levant avec un marché japonais XXL.


80 exposant·es pour un shopping 100% nippon

Shizen, qui veut dire nature en japonais, c’est le village de Noël nippon qui s’installe chaque année depuis bientôt quatre ans au cœur de la Cité Fertile. Cette fois-ci, il nous donne rendez-vous du 9 au 10 décembre pour faire des courses de Noël de compét’ et dénicher LE meilleur cadeau à offrir à votre famille (ou à vous-même, pourquoi pas). Au total, on retrouvera 80 exposant·es qui célèbrent l’art et l’artisanat japonais avec illustrations, thés, déco, vêtements, kimonos, saké…


Animations, ateliers, food…

En plus des moults étals d’exposant·es, le Shizen prévoit quelques bonnes surprises et animations avec des spectacles de danse traditionnelle, des concerts, des performances, des écoutes de podcast et des DJ sets festifs. Comme l’année dernière, on attend aussi une ribambelle d’ateliers sympas comme de la calligraphie, de l'origami, des mangas ou encore de l'ikebana (art floral japonais). Le tout avec une offre food & drink gourmande, of course. Pour le programme détaillé, il sera révélé en décembre !


Shizen - le Noël japonais

Cité Fertile
14, avenue Edouard-Vaillant – Pantin
Du 9 au 20 décembre 2023
Plus d’infos

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié aujourd'hui à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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