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Journée gratuite et feu d’artifice au Musée Rodin pour fêter son centenaire

Publié le 3 novembre 2017 à 12h12

Modifié le 3 novembre 2017 à 15h11

par Camille H

Vendredi 17 novembre, c’est la grosse teuf au Musée Rodin. Tu ne payes pas ton entrée et en plus tu t’en mets plein les yeux avec un feu d’artifice en l’honneur du sculplteur mort il y a tout juste 100 ans. Une sacrée journée qui ne laissera personne de marbre…


Le 17 novembre 1917, le sculpteur Auguste Rodin s’éteignait. Laissant derrière lui une œuvre monumentale emplie de sculptures puissantes, dont le mouvement des corps émeut profondément. A cette occasion, une journée gratuite exceptionnelle est organisée à la fois au Musée Rodin de Paris mais aussi à celui de Meudon, situé dans sa maison et son atelier.

A Meudon, le rendez-vous est donné à 11h pour un hommage au pied de la tombe de l’artiste en compagnie notamment de la ministre de la Culture, Françoise Nyssen. S’ensuivra une visite de sa demeure mais surtout de son atelier. L'occasion de plonger avec émotion dans le quotidien de travail de celui qui façonna Le Baiser.

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Du côté de Paris, déjà, l’entrée est gratuite de 10h à 19h30. Vous aurez également le droit à une visite des collections avec le personnel du musée de 14h à 18h, mais aussi un parcours musical des œuvres et même une pièce de théâtre avec les élèves du lycée Rodin de 14h30 à 15h. Et comble de la joie, cette soirée se finira féeriquement par un feu d'artifice dans le jardin du musée à 20h. Soit mille et une pensées colorées qui s’échapperont de la tête du très contemplatif Penseur de Rodin, bien perché sur son socle de bronze. 


Le Musée Rodin Paris

Journée gratuite le 17 novembre
77, rue de Varenne - 7e
M° Varenne

Le Musée Rodin Meudon
9, avenue Auguste Rodin - Meudon
RER C Issy

 

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Top 10 des gens insupportables devant une série

Publié aujourd'hui à 20h00

par Flora Gendrault

1. Celui ou celle qui regarde toujours la même série 

Tu ne l'as jamais connu un minimum curieux. Ce·tte pote te crache au visage lorsque tu lui conseilles Adolescence, dernier carton Netflix, Severance, la création originale la plus visionnée d'Apple TV+, The White Lotus, satire sociale devenue instantanément culte : son kiff, c'est de regarder encore et encore la même série, réviser les dialogues qu'il ne connaît pas et réciter avec orgueil ceux qu'il maîtrise. Du coup, tu n'oses plus lui parler d'actualité, et tu espères qu'un jour, cette bonne vieille nostalgie lui passera.  


2. Celui ou celle qui n'a pas de personnalité  

Ce·tte pote a construit son esprit rebelle devant Sense 8 et Skins, s'habille comme Abby dans NCIS, sait reconnaître tous les redflags des hommes grâce à Gossip Girl (au secours), veut bosser dans un hôpital avec des doc' sexy depuis Grey's Anatomy, ne veut plus avoir d'enfants après avoir bouffé du Malcolm matin, midi et soir... Après tout, pas besoin de voir un psy quand on peut regarder une bonne série : tout ce qu'il y a à savoir de la vie, ce sont elles qui nous l'ont appris. À celui ou celle qui change de personnalité comme de chaussettes, tu évites de recommander Dahmer, juste par précaution. 


3. Celui ou celle qui ne termine jamais sa série 

Option 1 : ce·tte pote est tellement attaché·e à sa série que regarder le dernier épisode, c'est lui dire définitivement adieu (sauf si c'est précisément celui ou celle qui va la recommencer demain. Voir point 1.) Raison acceptée. Option 2 : il en regarde trop à la fois, s'éparpille, puis oublie avoir un jour commencé le programme que tu lui conseilles depuis des mois. Ce·tte pote a souvent peur de l'engagement dans ses relations. Et est particulièrement agaçant. Raison refusée.


4. Celui ou celle qui ne supporte pas d’être spoilé·e

On comprend totalement les personnes qui n'ont pas envie de savoir pourquoi The Red Wedding de Game of Thrones (s3ep9) est l'un des épisodes les plus mythiques de séries, tous genres confondus. Connaître à l'avance telle mort, tel dénouement ou tel couple peut totalement enlever le plaisir du visionnage, on vous l'accordera. Mais à celui ou celle à qui l'on ne peut ni pitcher, ni aborder, ni même mentionner la série de peur de spoiler le nom des personnages ou l'intrigue générale, on envoie cet article pour qu'iel réalise son absurdité. Oui, on dénonce. 


5. Celui ou celle qui est toujours sur son téléphone 

Tu détestes regarder quoi que ce soit avec le geek de service, et c'est bien normal. Tu te lances dans une série que tu attends depuis longtemps, tu te fais une joie de partager ton excitation avec quelqu'un, mais lui, il est sur son téléphone. Tu fronces les sourcils et soupire bruyamment. Il fait la moue et le pose. Mais déjà, tu le sens ailleurs. Tu essaies de te concentrer, tout en jetant des coups d'œil discrets pour voir s'il suit. Spoiler : lui aussi a les yeux sur le côté pour checker ses notifs' (spoiler : personne ne le calcule). Verdict : tu termines l'épisode saoulé, et lui sans avoir rien écouté. Quel fléau. 


6. Celui ou celle qui ne t’attend pas 

Trahison, disgrâce. Ce·tte pote (si on peut encore l'appeler ainsi) est tout bonnement indigne de confiance. Vous vous étiez promis - par le biais d'un pinky swear, carrément ! - de regarder ensemble LA nouvelle série du moment lors d'une soirée qui s'annonçait idyllique. Dans ta tête, chaque détail était planifié : petit repas en tête à tête, bonbons à gogo, plaid tout doux, Netflix, y'a plus qu'à. Malheureusement, cette soirée n'existera jamais, puisqu'iel t'annoncera, honteux·se, avoir cédé à la tentation pour regarder le pilot. Des amitiés se sont brisées pour moins que ça. 

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7. Celui ou celle qui n’arrive pas à se décider 

Vous êtes en soirées pyjamas, et l'un·e de tes ami·es propose de lancer un truc sur Netflix. En bon sériphile, tu as une réputation à tenir, évidemment, tu acceptes. Et là, cette personne se met à scroller. Encore et encore. Clique sur chaque programme, mais aucun n'est assez bien. "Mh, ce genre-là, très peu pour moi", "J'aime pas cette actrice", "Non mais ça, c'est démodé en 2025", "C'est trop long, on va s'endormir". Une heure plus tard, vous êtes encore figé·es sur le catalogue de la plateforme, et effectivement, tout le monde s'est endormi, sauf toi, au bord de la crise de nerf


8. Celui ou celle qui ne comprend jamais rien  

Tu ne l'invites plus aux soirées visionnage, parce que tu sais que tu vas t'en occuper tout l'épisode. "On la connaît, elle ?", "Attend, remets en arrière, j'ai pas écouté hihi", "Mais il était pas mort ???". Et patiemment, tu réponds, tu vulgarises, tu es même prêt·e à lui faire un schéma sur le mur pour qu'il capte les subtilités du scénario. Pourtant, ce·tte même pote finira par te dire "Bon, je re-regarderai chez moi demain, quand je serai plus concentré·e". Tant d'efforts, si peu fructueux. Rageant. 

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9. Celui ou celle qui se la joue visionnaire, en vain 

C'est ce·tte pote qui se la pète, il en faut bien un·e. Avec, tu ne regardes que des comédies, des sitcoms, ou à la limite du fantastique, parce que dès qu'on part sur du policier/judiciaire/politique, il pète tout bonnement un câble. Son objectif : découvrir le pot aux roses, à tout prix, et même si cela doit te coûter tout confort. Il parle à tout va, sans pour autant s'adresser à toi, juste pour lâcher des interrogations dans l'air, et te montrer qu'il sent quelque chose de louche. Quand le tueur est révélé, pfff, il l'avait déjà déviné. Quand il ne l'avait pas deviné, pfff, ça n'a pas de sens. Quand ça n'a pas de sens, pfff, c'est une série de m****. Du coup, il déteste toutes les séries, parce qu'il n'est vraiment pas Akinator. 

10. Celui ou celle qui a déjà tout vu 

Tu te demandes si ce·tte pote bosse vraiment, ou si iel n'engage pas quelqu'un à plein temps pour assurer ses taches quotidiennes, de manière à pouvoir bingewatcher tout ce qui sort. Rien ne lui échappe. Souvent, cette personne est abonnée à Netflix, Prime Video, Disney +, Canal +, Apple TV+, Paramount, Mobi, et j'en passe. Elle t'intimide un peu, surtout si tu t'identifies au point 1 et que ta culture série se limite aux grands classiques, mais elle sait toujours te conseiller des bangers, donc tu remballes ton ego, tu dis merci, et tu te poses devant ton ordi. 

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