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Nicolas Bedos placé en garde à vue après une plainte pour agression sexuelle

Publié le 22 juin 2023 à 17h57

Modifié le 23 juin 2023 à 11h07

par Flora Gendrault

Selon des informations du média Actu17 confirmées par Le Parisien, Nicolas Bedos, 44 ans, réalisateur français de renom (La Belle Époque, OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire, Mascarade), a été placé en garde à vue hier pour agression sexuelle. Les faits se seraient produits au début du mois sur une jeune femme de 25 ans, laquelle a porté plainte le 12 juin. 


Nicolas Bedos accusé d’agression sexuelle dans un club parisien 

Selon la déposition de la jeune femme, elle était invitée par une amie dans le club parisien Les Sauvages situé dans le 1er, la nuit du 1er au 2 juin. Aux alentours de 1h du matin, elle explique avoir vu un homme s’approcher d’elle, qui l’a « fixée du regard » avant de tendre soudainement sa main droite en direction de sa culotte. Après un court temps de réaction, elle aurait repoussé la main de l’homme et reconnu le cinéaste Nicolas Bedos. Ce dernier aurait été viré de l’établissement par le vigile. La jeune femme explique n’avoir pas consommé une seule goutte d’alcool durant la soirée.

Alors que l’agence artistique de Bedos, sollicitée par Actu17, n’a pas souhaité réagir pour l’heure, les proches du réalisateur indiquent que les faits se sont produits « sur une piste de danse, dans une boite de nuit » et qu'un « tel geste », s'il « a pu exister, ne peut être qu’accidentel ».

La garde à vue de Nicolas Bedos, qui reste présumé innocent, peut s'étendre jusqu'à 48 heures.

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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