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Paris-Bruxelles : un train low-cost en projet pour 2024

Publié le 21 août 2023 à 15h15

Modifié le 21 août 2023 à 15h49

par Lucie Guerra

Vous revenez à peine de vacances, mais pensez déjà à votre prochaine destination de week-end ? On vous comprend ! Depuis Paris, Bruxelles semble être la ville idéale : on change de pays, on découvre de nouveaux lieux culturels, et on se remplit la panse à dose de frites et de gaufres. D’apparence, le trajet semble facile. Avec sa liaison Paris-Bruxelles, la compagnie de train Thalys propose un trajet d’1h20 à peine. Mais quand on regarde les prix, l’excitation n’est plus la même… Pour le premier week-end de septembre, un aller simple coûte entre 74 et 109€.

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Un nouveau service lowcost en projet

Pour soulager votre porte-monnaie, la SNCB et la SNCF ont annoncé « étudier la possibilité de créer ensemble une nouvelle offre régulière de transport ferroviaire de voyageurs en vitesse classique », entre Bruxelles-Midi et Paris-Nord, d’ici 2024. Vous l’avez donc compris, qui dit « vitesse classique », dit trajet plus long. L’objectif majeur serait de pouvoir proposer un service à « prix compétitif », pour être accessible au plus grand nombre.


Plusieurs voyages par jour

Oui, mais à quelle fréquence circuleraient ces trains ? L’ambition que les deux compagnies se donnent serait de pouvoir offrir « plusieurs allers-retours quotidiens aux voyageurs ». Pour le moment, cette ligne low-cost entre les deux pays n’est qu’au stade de projet et « les horaires et les arrêts intermédiaires éventuels restent également à confirmer ».

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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