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La première boutique officielle 100 % Harry Potter débarque à Paris

Publié le 26 octobre 2020 à 13h25

Modifié le 26 octobre 2020 à 14h54

par Lisa B

Les vrais fans dignes de cette boutique ont reconnu la source d’inspiration de ce chapo. Il s’agit (à quelques détails près) du discours de notre cher et tendre Albus Dumbledore lorsque celui-ci annonce le Tournois des Trois Sorciers (4e volet). Si l’événement que nous annonçons est loin d’être aussi sportif, il demeure tout autant sensationnel : quel Potter-addict n’a jamais rêvé de faire son shopping dans une boutique dédiée à nos sorciers préférés ?


Une toute première boutique officielle permanente 

C’est donc une première en France ! La boutique dédiée à l’univers d’Harry Potter débarque à l’heure où Noël et ses festivités sont prêts à sonner. Elle s’installera au Village Jouéclub de Paris, dans le 2e arrondissement, non pas sous forme de pop-up store (comme ça a déjà pu être le cas en 2018), mais bien en tant que toute première boutique officielle permanente.

La magie opérera dans la galerie commerçante du 3, boulevard des Italiens, à l’étage de la boutique de jeux du Village Jouéclub : vous l’avez compris, tout l’étage sera 100 % Harry Potter. Ambiance Poudlard au rendez-vous, dont les décors imprégneront les murs de la boutique, avec des vitraux, des caisses décorées aux couleurs du Poudlard Express, et même un point photo Hogwart’s Express.

Côté vente, on trouvera tout ce qu’on rêvait d’avoir ENFIN chez nous ; jeux de société, figurines, déguisements, capes d’invisibilité (pratique pour contrer le couvre-feu) et sucreries à foison (attention néanmoins : la bertie crochue peut-être très vicelarde une fois sur notre langue). Pas moins de 700 références seront nichées ça et là dans les rayons de notre futur GQ. Ce sera aussi de l’occasion de se dégoter des produits Harry Potter encore jamais mis en vente en France !

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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