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Transports, axes routiers... Voici les restrictions de circulation pendant les Jeux paralympiques

Publié le 23 août 2024 à 12h00

Modifié le 23 août 2024 à 14h24

par Lucie Guerra

Ils arrivent à grands pas. Dans quelques jours à peine, le mercredi 28 août, le coup d’envoi des Jeux paralympiques va être donné. Ils dureront deux semaines, jusqu’au 8 septembre. Comme c’était le cas pour leurs prédécesseurs olympiques, quelques restrictions de circulation vont s’imposer, que vous soyez en voiture, à pied, à vélo ou si vous utilisez les transports en commun. Plusieurs périmètres de limitation ont été mis en place par la préfecture. On fait le point. 

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Des stations de métro fermées

Après ces deux semaines de répit sur toutes les restrictions de circulation, les voilà de retour. Au total, 300 000 spectateurs sont attendus durant cette quinzaine. Du côté du métro, il faudra anticiper ses trajets puisque la plupart des stations fermées depuis le 17 juin ou le début du mois de juillet le resteront jusqu’au 21 septembre. Ce sera notamment le cas des stations Concorde, Tuileries, et Champs-Élysées-Clémenceau. Le tram, quant à lui, ne desservira pas les stations Porte de Versailles et Porte d’Issy jusqu’au 7 septembre, et la station Colette Besson jusqu’au 8 septembre. 


La circulation réglementée pour les véhicules

Pour ce qui est des axes routiers, les voies olympiques vont être remises en place sur le périphérique jusqu’au 11 septembre. Comme c’était le cas précédemment, des périmètres de sécurité définis par un code couleur ont été instaurés par la préfecture. Ainsi, dans les zones grises — les plus proches des sites olympiques et des lieux où se déroulent la cérémonie d’ouverture —  la circulation est interdite et seuls les spectateurs ayant un billet peuvent s’y rendre. Les zones rouges permettent aux piétons, cyclistes et trottinettes de circuler librement, mais tous les véhicules motorisés auront besoin d’un laissez-passer – qui s’obtient via une inscription sur la plateforme de la préfecture – pour y pénétrer. Les zones bleues impose des conditions similaires aux zones rouges, mais requièrent que les véhicules puissent justifier leur nécessité d’accéder à cet espace. 

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Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié aujourd'hui à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
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