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Le meilleur rosé du monde coûte 7 euros !

Publié le 21 juin 2017 à 11h40

Modifié le 21 juin 2017 à 15h04

par La Rédac'

Il n’y a rien de pire qu’une piquette, surtout quand on boit du rosé (eh oui, avec plein de glaçons cette petite chose se boit si vite !). Pour ne pas se réveiller avec un atroce mal de crâne, l’idée est donc de ne pas hésiter à acheter un vin de qualité (c’est-à-dire un peu plus cher). Eh bien voici une nouvelle qui va vous ravir, jeunes aux poches trouées, le International Wine Challenge de Londres vient de désigner un vin à sept euros dans sa liste des meilleurs vins du monde. Sortez le tire-bouchon !


Certes le concours a eu lieu à Londres, mais ne vous en faites pas, il s’agit d’un vin que l’on peut aussi trouver en France, chez Aldi plus précisément. Il s’agit du Côtes de Provence Exquisite de 2016, qui a gagné une médaille d’argent à l’occasion du International Wine Challenge, un concours reconnu dans le monde entier depuis 1980.

C’est après des semaines de tests à l’aveugle en avril que le rosé a remporté la mise parmi des milliers d’autres vins en lice. L’Exquisite remporte donc la médaille d’argent dans la catégorie des vins à moins de 8£. Mais quelle est la particularité de ce rosé ? Il est obtenu à partir de différents cépages de Grenache, Cinsault et Syrah dont le goût serait « un mélange de fraises et fruits blancs, subtilement épicé ». Avec ou sans glaçon ?!

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération

 

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Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié aujourd'hui à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
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