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Le "violeur de Tinder", sous contrôle judiciaire, est accusé par de nouvelles femmes

Publié le 28 juin 2023 à 17h48

Modifié le 29 juin 2023 à 11h16

par Flora Gendrault

Sam, Abel, Sacha, Darcy ou encore Sol : depuis des années, Salim B. change son identité et sa personnalité sur Tinder pour piéger ses victimes, les abuser sexuellement ou les violer. Alors qu’il doit être jugé dans les mois qui viennent par la cour d’assises, Le Monde nous apprend que le "violeur de Tinder" — qui n’est pas sans rappeler le documentaire The Tinder Swindler sur Netflix —, a continué d’utiliser les applications de rencontre pour trouver de nouvelles proies, et ce malgré son contrôle judiciaire. Retour sur les faits glaçants autour de ce prédateur méthodique.


Les réseaux sociaux comme terrain de jeu 

Depuis 2014, Salim B. séduit ses victimes sur des applications de rencontre comme Tinder, Feeld ou encore Bumble. Comme l’a démontré l’enquête, il utilise des phrases types répertoriées dans un tableau Excel, lui permettant d’entretenir jusqu’à vingt conversations simultanées. Vient ensuite la proposition de la rencontre : en fin manipulateur, l’homme use de son statut de photographe de mode à Paris et propose des shootings photo. Au moment de la séance, il drogue les victimes et abuse d’elles.  

Salim B. s’est entretenu avec de nombreux experts psychiatriques, lesquels sont parvenus à cerner son profil et son rituel de prédation. Le schéma habituel de ses agressions est décrit dans l’ordonnance de mise en accusation comme une « forme d’industrialisation » : l’homme a conçu un protocole complexe dans le but de satisfaire un besoin « purement narcissique, égocentrique », qui consiste à « séduire l’autre pour pouvoir le rejeter et le maltraiter ensuite ». 


De nouvelles plaintes s’ajoutent aux 17 autres  

Accusé d’avoir commis 16 viols et une agression sexuelle entre 2014 et 2016, Salim B. a été incarcéré pendant deux ans, puis remis en liberté sous bracelet électronique en juin 2019, avant d’être placé sous contrôle judiciaire le 20 novembre 2019. 

Malgré ces ordonnances de justice, les articles de presse le concernant et les collectifs féministes signalant ses profils sur le net, l’homme persiste : selon les informations du journal, au moins trois femmes disent avoir été victimes des agissements de Salim B. ces derniers mois. De nouvelles plaintes ont été déposées et viennent s’ajouter à la longue liste des femmes qui ont été victimes de ses agissements. De multiples récidives pour l’instant impunies qui questionnent la lenteur de la justice

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L’asperge (mars à juin)

Blanche, violette ou verte, l’asperge revient en fanfare et c’est une petite capricieuse : à peine arrivée, déjà partie. À croquer en salade avec une sauce mousseline, rôtie au four avec du parmesan ou tout simplement trempée dans un œuf mollet, elle est irrésistible.

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Bienfaits : Riche en fibres, en vitamines (A, C, E, K) et en antioxydants, elle aide à la digestion et possède des propriétés diurétiques.


Le radis (mars à juin)

Rose pimpant, rond ou allongé, le radis se croque sans fin. Un peu de beurre, une pincée de fleur de sel et bim, tu tiens l’apéro le plus simple et le plus parfait de la saison. Pour changer un peu, tente le radis en carpaccio avec un filet d’huile d’olive et quelques zestes de citron.

Bienfaits : Très peu calorique, riche en eau et en potassium, il facilite l’élimination des toxines et booste l’hydratation.


La fève (avril à juillet)

Oui, il faut les écosser, oui, c’est un peu long, mais une fois libérées de leur cosse, les fèves révèlent une douceur végétale dingue. Avec un bon pecorino, de la menthe fraîche et un filet d’huile d’olive, elles deviennent une salade qui sent bon l’Italie. À tester aussi mixées en houmous green pour impressionner tes convives.

Bienfaits : Excellente source de protéines végétales, de fer et de fibres, elle favorise la satiété et l’énergie.


Le navet nouveau (avril à juillet)

Loin du gros navet d’hiver un peu rustique, le navet nouveau est tendre et légèrement sucré. Juste glacé au beurre ou croquant en salade, il a tout pour plaire. Et en prime, ses fanes peuvent se transformer en soupe ou en pesto.

Bienfaits : Peu calorique, riche en fibres et en vitamine C, il favorise la digestion et le bon fonctionnement du système immunitaire.


L’artichaut (mars à juin)

Cuit à la vapeur et dégusté feuille par feuille avec une vinaigrette bien relevée, l’artichaut est une expérience en soi. Son cœur, fondant et légèrement sucré, est une merveille en salade avec du parmesan et des pignons de pin.

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Bienfaits : Excellent pour le foie, riche en antioxydants et en fibres, il aide à la digestion et à l’élimination des toxines.


La carotte nouvelle (avril à juin)

La carotte nouvelle est croquante, juteuse et sucrée, rien à voir avec ses cousines d’hiver. Juste rôtie avec un filet de miel et du thym, ou râpée avec une vinaigrette bien punchy, elle régale à coup sûr.

Bienfaits : Gorgée de bêta-carotène, elle est parfaite pour la peau, la vision et le système immunitaire.


La courgette primeur (mai à septembre)

Toute jeune, elle est fine et douce, parfaite crue en tagliatelles avec du citron et de l’huile d’olive. En version chaude, elle adore se faire rôtir avec de l’ail ou glisser dans une poêlée printanière.

Bienfaits : Très digeste et hydratante, elle contient du potassium et des vitamines essentielles pour le cœur.


La fraise (avril à juin)

Gariguette, Ciflorette, Mara des bois… Chaque année, c’est la même histoire : la première fraise a le goût du bonheur. En tarte, en salade avec du basilic ou juste trempée dans un nuage de crème chantilly, c’est le fruit qui annonce officiellement l’été. Attention aux fraises trop parfaites et bien calibrées : souvent, elles n’ont que le look et pas le goût.

Bienfaits : Riche en vitamine C et en antioxydants, elle booste l’énergie et lutte contre le vieillissement cellulaire.


La rhubarbe (avril à juillet)

Longtemps boudée, elle revient en force. Son petit kick acidulé réveille les desserts (miam tarte à la rhubarbe) et sublime même les plats salés : testée en chutney avec un bon fromage de chèvre, adoptée direct. Et en compote avec un soupçon de vanille, elle fait des miracles sur un yaourt bien crémeux.

Bienfaits : Riche en fibres et en calcium, elle favorise la digestion et la santé osseuse.


Les petits pois (avril à juillet)

Dès qu’ils débarquent, c’est la fête. Crus, ils explosent en bouche. Cuisinés, ils s’associent à merveille avec la menthe, le citron ou le parmesan. Si tu veux une dose de comfort food version printanière, teste les petits pois à la française avec des lardons et des oignons nouveaux.

Bienfaits : Excellente source de protéines, de vitamines B et de fer, ils boostent l’énergie et la récupération musculaire.


La cerise (mai à juillet)

Elle débarque en fin de printemps et met tout le monde d’accord. Juste croquée nature, en clafoutis ou même en salade sucrée-salée avec du fromage frais et des herbes, elle est toujours un bonheur.

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Bienfaits : Riche en antioxydants et en mélatonine, elle favorise le sommeil et réduit les inflammations. Attention à ne pas faire l'erreur de débutant : en manger trop dès le premier jour et finir sur les toilettes un peu trop longtemps. Allez y avec parcimonie. 

L’abricot (mai à août)

Dès qu’il est bien mûr, l’abricot envoie une dose de soleil en bouche. À dévorer tel quel, rôti au four avec un filet de miel ou en confiture maison, il sent bon les vacances avant l’heure.

Bienfaits : Bourré de vitamines A et C, il protège la peau et renforce le système immunitaire.


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