À deux pas de l’Opéra et des Grands Boulevards, au milieu des enseignes de luxe et des adresses étoilées, Onyx bouscule les codes en proposant un menu gastronomique de qualité à des prix doux. Ici, pas besoin de casser son PEL pour s’offrir une expérience culinaire pointue : le chef joue avec les saisons et les textures pour composer une partition gourmande en cinq temps pour 89€ le soir, et un menu du midi à seulement 35€. Une pépite à (re)découvrir sans attendre.
La gastronomie à prix doux
Ouvert à l’été 2024, Onyx s’est rapidement imposé comme un incontournable de la sphère culinaire parisienne. Avec son offre ultra abordable et sa décoration design, son nom a rapidement inondé les réseaux sociaux fin 2024. Ici, le chef Tetsuya Yoshida et le chef Benjamin Marotine revisitent les classiques français en les infusant d’influences venues du monde entier. Résultat : des plats créatifs, savoureux et parfaitement exécutés, à des prix très abordables.
Voir cette publication sur Instagram
Le midi, pour seulement 35€, vous pouvez opter pour un menu entrée/plat ou plat/dessert. Un choix qui permet de goûter à des mets raffinés comme un quasi de veau rôti, servi avec une mousseline de carottes au cumin, navet et carottes multicolores et jus corsé au thym ou encore un délicieux poisson du marché avec fondue de poireaux et purée de brocolis au persil. Envie d’un menu plus complet ? Le menu entrée/plat/dessert est quant à lui à 42€, une formule idéale pour découvrir toute la palette de la cuisine Onyx à un prix défiant toute concurrence pour un restaurant de cette qualité.
Des plats qui ne manquent pas de caractère
Le soir, Onyx offre une expérience culinaire encore plus impressionnante avec son menu en 5 services à 89€. Un prix qui, à Paris, est tout sauf commun pour un menu gastronomique de cette envergure. Le chef Yoshida, avec sa maîtrise des assaisonnements, vous propose un voyage gustatif avec des plats comme un carré d’agneau rôti, cromesqui de navarin, chou pointu et mini carottes violettes. Les influences japonaises, omniprésentes, se retrouvent dans des créations comme la daurade cuite en yubiki – une méthode japonaise traditionelle – servie avec de la cima di rapa, clémentine, pissenlits et un condiment miso au vinaigre. Des plats audacieux, mais toujours ancrés dans la tradition française, qui permettent de redécouvrir la gastronomie sous un autre angle.
Voir cette publication sur Instagram
Et pour les becs sucrés, les desserts ne sont pas en reste. Le Paris-Brest signature, avec sa crème intense au praliné pécan et noisettes, est une vraie référence, tout comme le mille-feuille à la vanille grillée, caramel et fève Tonka, qui ne manquera pas de séduire même les palais les plus exigeants.
Voir cette publication sur Instagram