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Apple Watch et tatouage ne font pas bon ménage

Publié le 29 avril 2015 à 00h00

Modifié le 29 avril 2015 à 16h00

par Lance

Alerte rouge chez Apple. La montre intelligente ne l'est peut-être pas tant que ça. En effet, certains détenteurs de ce bijou technologique, qui accessoirement donne l'heure, voient leur ustensile réduit à l'asphyxie technologique. En cause, l'encre des tatouages au poignet annihilerait toute demonstration d'intelligence de la part de l'Apple Watch.

À peine sortie et la montre surdouée d'Apple fait déjà grise pomme. Cette fois-ci, c'est l'encre sombre, comme le noir et le rouge, des tattoos qui dérègle la montre. Nichée au poignet d'êtres tatoués, la petite voit midi à quatorze heures, n' indique plus le rythme cardiaque et ne se déverrouille plus automatiquement. D'autres imbroglios ont été décelés par la communauté tatouée. En somme, la dernière-née de chez Apple s'affole et perd ses moyens au contact de peaux encrées.

Il semblerait que la photopléthysmographie, technologie utilisée sur les Apple Watch, ne soit pas compatible avec les tatouages. Du coup, la marque à la pomme va perdre bon nombre de ses clients potentiels. Quel dommage, il serait donc temps de rattraper le retard, difficile défi pour une montre connectée.

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Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié hier à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
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