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Une école de sorciers comme à Poudlard ouvre bientôt en Bretagne

Publié le 30 juin 2022 à 17h21

Modifié le 30 juin 2022 à 17h30

par Sarah Leris

C’est une aventure pas comme les autres qui ouvre ses portes en octobre prochain à Saint-Brice-En-Coglès, en Bretagne. Le château Le Rocher Portail, perle du patrimoine historique breton du 16e siècle niché en pleine campagne, entre Rennes et le Mont Saint Michel, installe… une école de sorciers. Oui monsieur.

Au programme, un grand évènement qui s’inspire de l’univers d’Harry Potter avec quatre grandes maisons représentées pour accueillir les apprentis sorciers : Busarde, Cerfdelune, Boucfleche et Fauvedor. Le temps d’une après-midi ou d’une soirée, on vit comme un vrai sorcier à Poudlard, le temps d’une tripotée de soirées thématiques uniques avec visites, banquets et dégustations dans une mise en scène immersive.

Au programme, une visite du château redécoré, des dortoirs aux salles de sortilèges et de potions, en passant par les chambres des professeurs et la grande salle des banquets de 350m2. Les visiteurs du soir profiteront d’un banquet avec les professeurs et la directrice dans la grande salle et d’un spectacle son et lumière en final dans la cour du Château, et les visiteurs de l’après-midi auront le droit, eux, à une visite du château et des pièces… dans une ambiance magique.

Ecole des sorciers du Rocher Portail
Saint-Brice-En-Coglès
Du 22 octobre au 5 novembre 2022

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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