young-adults-kissing-in-the-streets-of-paris-pictu

10 raisons de ne jamais réintroduire la bise dans nos vies

Publié le 8 juillet 2021 à 17h53

Modifié le 9 juillet 2021 à 15h35

par Lucienne de la Paillade

1. Parce que c'est majoritairement comme ça qu'on se refile toutes les maladies saisonnières

2. Parce que c'est malaisant : « Hihi chez nous c'est quatre. »

3. Parce qu'il y a mille autres manières plus cool de dire bonjour : le check, le hug...

4. Parce qu'on commençait tout juste à retrouver une belle peau en ne devant plus porter le masque systématiquement.

5. Parce que c'est une perte de temps de faire la bise à une tablée de dix.

6. Parce que c'est chelou d'embrasser des étrangèr·e·s à deux centimètres de la bouche.

7. Parce qu'on n'a pas envie de sentir les reflux de saucisson à l'ail de lea voisin·e.

8. Parce qu'on peut toujours déraper.

9. Parce qu'il y en a toujours un qui commence du mauvais côté.

10. Parce qu'on n'a pas envie d'avoir la joue qui pue de la gueule.

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
serge-gainsbourg

Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié aujourd'hui à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
Plus d’infos


À LIRE AUSSI