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10 fautes de français très répandues qu'on a déjà tous faites

Publié le 17 novembre 2020 à 08h40

Modifié le 29 juillet 2021 à 17h28

par Laura P

Ce n’est pas « quelque soit » mais « quel(s) que soi(en)t » ou « quelle(s) que soi(en)t ».

On ne s’excuse jamais en écrivant « autant pour moi » mais « au temps pour moi ». Ben ué.

On ne part pas faire une « ballade » mais une « balade ». Avec deux « », le mot ballade désigne une forme musicale. Lorsque le mot désigne une promenade, il ne s’écrit qu’avec un « ».

« J’étais censé aller faire du sport » et pas « sensé ». Lorsqu’on peut remplacer « censé » par « supposé », le mot s’écrit avec un « ». Lorsqu’il commence par un « »« sensé » signifie quelque chose qui a du sens.

« Quelquefois » s’écrit de cette façon. En un mot. Ça fout un coup non ?

Non, ce bon vieux monsieur S n’a rien à faire avec « parmi » et « malgré », bien que ce soit assez moche…

Quand il dit que le verbe « appeler » est super ennuyeux à écrire. C’est bien simple, on ne peut pas l’écrire correctement du premier coup, jamais.

On ne dit pas "je me suis permise" mais « je me suis permis » (oui, même si on est une fille). Quand le verbe « permettre » est utilisé à la forme pronominale, il ne s’accorde pas sauf si le COD est placé avant le verbe, comme par exemple « la remarque qu’elle s’est permise était pertinente ».

Un peu de chiffres à présent : « cent » et « vingt » prennent un « » seulement lorsqu’ils sont multipliés.

« Elle s'est lavée les mains » pour éviter d'attraper le covid. Eh bien, non en réalité pour bien faire « elle s'est lavé les mains ». Quand un COD suit un verbe pronominal, il ne faut pas accorder le participe passé. 

« En termes de chiffre d'affaire », même s'il peut atteindre plusieurs milliers d'euros (hors période de pandémie mondiale), s'exprime toujours au singulier quand l'expresssion « en termes de », elle, s'écrit toujours au pluriel.



Voilà, on ne vous impose pas de « date butoir » (sans E) pour intégrer toutes ces règles mais c’est le bûcher pour le prochain qui fait ces fautes.

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L’asperge (mars à juin)

Blanche, violette ou verte, l’asperge revient en fanfare et c’est une petite capricieuse : à peine arrivée, déjà partie. À croquer en salade avec une sauce mousseline, rôtie au four avec du parmesan ou tout simplement trempée dans un œuf mollet, elle est irrésistible.

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Bienfaits : Riche en fibres, en vitamines (A, C, E, K) et en antioxydants, elle aide à la digestion et possède des propriétés diurétiques.


Le radis (mars à juin)

Rose pimpant, rond ou allongé, le radis se croque sans fin. Un peu de beurre, une pincée de fleur de sel et bim, tu tiens l’apéro le plus simple et le plus parfait de la saison. Pour changer un peu, tente le radis en carpaccio avec un filet d’huile d’olive et quelques zestes de citron.

Bienfaits : Très peu calorique, riche en eau et en potassium, il facilite l’élimination des toxines et booste l’hydratation.


La fève (avril à juillet)

Oui, il faut les écosser, oui, c’est un peu long, mais une fois libérées de leur cosse, les fèves révèlent une douceur végétale dingue. Avec un bon pecorino, de la menthe fraîche et un filet d’huile d’olive, elles deviennent une salade qui sent bon l’Italie. À tester aussi mixées en houmous green pour impressionner tes convives.

Bienfaits : Excellente source de protéines végétales, de fer et de fibres, elle favorise la satiété et l’énergie.


Le navet nouveau (avril à juillet)

Loin du gros navet d’hiver un peu rustique, le navet nouveau est tendre et légèrement sucré. Juste glacé au beurre ou croquant en salade, il a tout pour plaire. Et en prime, ses fanes peuvent se transformer en soupe ou en pesto.

Bienfaits : Peu calorique, riche en fibres et en vitamine C, il favorise la digestion et le bon fonctionnement du système immunitaire.


L’artichaut (mars à juin)

Cuit à la vapeur et dégusté feuille par feuille avec une vinaigrette bien relevée, l’artichaut est une expérience en soi. Son cœur, fondant et légèrement sucré, est une merveille en salade avec du parmesan et des pignons de pin.

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Bienfaits : Excellent pour le foie, riche en antioxydants et en fibres, il aide à la digestion et à l’élimination des toxines.


La carotte nouvelle (avril à juin)

La carotte nouvelle est croquante, juteuse et sucrée, rien à voir avec ses cousines d’hiver. Juste rôtie avec un filet de miel et du thym, ou râpée avec une vinaigrette bien punchy, elle régale à coup sûr.

Bienfaits : Gorgée de bêta-carotène, elle est parfaite pour la peau, la vision et le système immunitaire.


La courgette primeur (mai à septembre)

Toute jeune, elle est fine et douce, parfaite crue en tagliatelles avec du citron et de l’huile d’olive. En version chaude, elle adore se faire rôtir avec de l’ail ou glisser dans une poêlée printanière.

Bienfaits : Très digeste et hydratante, elle contient du potassium et des vitamines essentielles pour le cœur.


La fraise (avril à juin)

Gariguette, Ciflorette, Mara des bois… Chaque année, c’est la même histoire : la première fraise a le goût du bonheur. En tarte, en salade avec du basilic ou juste trempée dans un nuage de crème chantilly, c’est le fruit qui annonce officiellement l’été. Attention aux fraises trop parfaites et bien calibrées : souvent, elles n’ont que le look et pas le goût.

Bienfaits : Riche en vitamine C et en antioxydants, elle booste l’énergie et lutte contre le vieillissement cellulaire.


La rhubarbe (avril à juillet)

Longtemps boudée, elle revient en force. Son petit kick acidulé réveille les desserts (miam tarte à la rhubarbe) et sublime même les plats salés : testée en chutney avec un bon fromage de chèvre, adoptée direct. Et en compote avec un soupçon de vanille, elle fait des miracles sur un yaourt bien crémeux.

Bienfaits : Riche en fibres et en calcium, elle favorise la digestion et la santé osseuse.


Les petits pois (avril à juillet)

Dès qu’ils débarquent, c’est la fête. Crus, ils explosent en bouche. Cuisinés, ils s’associent à merveille avec la menthe, le citron ou le parmesan. Si tu veux une dose de comfort food version printanière, teste les petits pois à la française avec des lardons et des oignons nouveaux.

Bienfaits : Excellente source de protéines, de vitamines B et de fer, ils boostent l’énergie et la récupération musculaire.


La cerise (mai à juillet)

Elle débarque en fin de printemps et met tout le monde d’accord. Juste croquée nature, en clafoutis ou même en salade sucrée-salée avec du fromage frais et des herbes, elle est toujours un bonheur.

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Bienfaits : Riche en antioxydants et en mélatonine, elle favorise le sommeil et réduit les inflammations. Attention à ne pas faire l'erreur de débutant : en manger trop dès le premier jour et finir sur les toilettes un peu trop longtemps. Allez y avec parcimonie. 

L’abricot (mai à août)

Dès qu’il est bien mûr, l’abricot envoie une dose de soleil en bouche. À dévorer tel quel, rôti au four avec un filet de miel ou en confiture maison, il sent bon les vacances avant l’heure.

Bienfaits : Bourré de vitamines A et C, il protège la peau et renforce le système immunitaire.


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