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7 podcasts pour se remettre d’une rupture amoureuse

Publié le 14 février 2023 à 18h37

Modifié le 15 février 2023 à 10h31

par Flora Gendrault


Celui pour recevoir les conseils d'une bonne copine

Mais si, vous êtes forcément déjà tombé·e sur une vidéo de Anna Rvr : cette influenceuse est confortablement installée dans le paysage YouTube depuis une dizaine d’années, et utilise l’humour et l’honnêteté comme ses principales armes. C’est d’ailleurs ce qui fait son petit charme, et explique la longévité de son succès : son podcast Contre Soirée, lancé à la rentrée 2022, pourra plaire à quiconque aime écouter des discussions à cœur ouvert sur les réussites, les échecs, les moments de vie, et recevoir des conseils sans prétention. 

Dans son "Tutoriel pour se remettre d’une rupture", Anna aborde son parcours amoureux (trois ans de célibat, et une relation ambiguë douloureuse) et les étapes qui, selon elle, mènent au deuil et à l’acceptation. À la clé : avoir les outils pour devenir la meilleure version de soi

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Contre Soirée, par Anna Rvr
46 épisodes de 15 à 30 minutes 
Épisode cité : "Un tutoriel pour se remettre d’une rupture", octobre 2022


Celui pour rire 

Qui a dit qu’on devait forcément écouter du Ludivico Einaudi en pleurant à chaudes larmes lors d’une rupture ? Bon, généralement, c’est une étape indispensable pour accuser le coup, mais cela peut aussi mettre du baume au cœur d’écouter quelqu’un en parler avec recul et humour. 

Cet épisode, c’est l’histoire du premier amour de l’acteur, humoriste et réalisateur Manu Payet. Celui qui donne des papillons dans le ventre, qui fait très mal, aussi, mais qui donne une multitude de leçons au bout du chemin. Un podcast qui fait rire, peuplé de paroles réflexives assez inédites, donc merci La Leçon

La leçon, le podcast sur l’art d’échouer, par Pauline Grisoni
158 épisodes d’environ 55 minutes 
Épisode cité : "Manu Payet : la rupture qui m’a fait grandir", janvier 2020


Celui pour reprendre espoir 

Quoi de plus inspirant et réconfortant, en pleine peine de cœur, que d’entendre des personnes nous dire que ça va aller, que la douleur passe, qu’on s’habitue toujours à tout ? C’est un peu l’idée du podcast Chagrins d’amour. 

En 10 épisodes, Marie Gouillier recueille le témoignage de plusieurs personnes dont le genre, l’âge, les origine et les croyances diffèrent, mais qui ont toutes le même point commun : iels se sont remis·es de leur rupture. Un véritable moment de partage d’expérience, d’espoir et d’amour qui vous consolera forcément, j’en suis sûre. 

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Chagrins d’amour, de Marie Gouillier
10 épisodes de durées variables 


Un autre épisode sur le même thème pourrait vous plaire : celui de Clara Luciani dans Émotions, qui explique SA manière de se remettre d’un chagrin d’amour. C’est léger, vrai, grâce à l’authenticité de la chanteuse mais aussi celle de son intervieweuse, Edie, qui a besoin de conseils. Un cardiologue la rassurera : non, Edie, tu n’as pas littéralement le cœur brisé. Pour s’en remettre, elle pourra s’inspirer de la belle résilience de Clara, qui arrive toujours à rebondir et à renaître de ses blessures ! 

Émotions, un podcast de Louie Media
Environ 170 épisodes de durées variables
Épisode cité : "Comment survivre à un chagrin d’amour ? Avec Clara Luciani et un cardiologue", août 2022


Celui pour (enfin) se sentir comme une girl boss

Après le temps des larmes vient le temps du self love, et on ne se dirige pas forcément vers les podcasts pour écouter des personnes dans la même situation, mais aussi pour se revaloriser. Comprendre ce qui a pêché. Déconstruire la potentielle toxicité de notre précédente relation, et si cette dernière était hétérosexuelle, les mécanismes de soumission et d’oubli de soi qui s’y opéraient. 

C’est l’objectif du Cœur sur la table, un podcast à succès, et en une écoute, on comprend très bien pourquoi. Dans deux épisodes intitulés "Romance" et "Soumission", Victoire Tuaillon interroge notre manière d’aimer les hommes, mais parfois mal et trop, au point d’en abandonner nos principes féministes. Un podcast qui nous apprend à déconstruire la romance, et à aimer mieux, en commençant par s’aimer soi. Essentiel, non ? 


Le cœur sur la table
, par Victoire Tuaillon
Une saison et des hors-séries, durées variables 
Épisodes cités : "Romance" et "Soumission", septembre 2021


Celui pour célébrer son célibat

C’était notre enquête du mois de février : le célibattant est le nouveau cool (n’est-ce pas Sarah) ! Et ce n’est pas Marie Albert, hôte du podcast Sologamie, qui va dire le contraire. Tout est dit dans le titre : les célibataires n’ont besoin de personne. Non, votre bonheur ne dépend pas, et ne doit pas dépendre, de ce garçon ou de cette fille. 

D’un point de vue féministe et politique, Marie privilégie des invité·e·s minorisé·e·s et célibataires pour apprendre à se recentrer sur soi, rester ambitieux·ses et surtout indépendant·e·s. 

Sologamie, par Marie Albert
Chaque premier mardi du mois, durées variables 


Et enfin, celui pour se reconnecter à ses désirs… 

On parle assez peu de sexe depuis le début de cet article, vous ne trouvez pas ? Pourtant, faire l’amour fait partie intégrante de nos relations, pour le meilleur comme pour le pire. Les relations charnelles peuvent ne pas nous convenir, et même causer la fin d’un couple. En privilégiant les désirs de l’autre, nous renions nos envies, notre corps, et finissons frustré·e·s. 

Dans Un podcast à soi, et l’épisode "Une vie à soi : les désirs de Sofia", une jeune femme maghrébine, peintre en bâtiment, livre une autobiographie de sa vie sexuelle sous le patriarcat. Après son écoute, vous aurez envie d’affirmer vos désirs, vos envies de peau et de jouissance, tout ceci de manière décomplexée ! 

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Un podcast à soi, par Arte Radio
Chaque premier mercredi du mois, environ 1h 
Épisode cité : "Une vie à soi : les désirs de Sofia", novembre 2021 

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Le plus gros rassemblement de Kevin organisé à Paris ce lundi

Publié aujourd'hui à 18h00

Modifié aujourd'hui à 18h57

par Auriane Camus

Vous vous appelez Kevin et vous en avez marre que la Terre entière se moque de votre prénom à longueur de temps ? C'est votre jour ! Ce lundi 17 mars, le plus grand rassemblement de Kevin jamais organisé se tiendra devant le Forum des Images, en plein cœur de la capitale, à partir de 19h30. Et la bonne nouvelle, c'est que vous avez le droit de venir les soutenir, même si vous ne vous appelez pas Kevin.


Le rendez-vous des Kevin

Si ce rassemblement pas comme les autres a lieu à cette date, ce n'est pas pour fêter la Saint-Kevin (qui a lieu le 3 juin) mais pour marquer la sortie sur grand écran du documentaire Sauvons les Kevin, en présence du réalisateur Kevin Fafournoux, ce lundi 17 mars à partir de 19h30 au Forum des Images. Le film d'1h05 sera ensuite diffusé sur Paris Première le samedi 22 mars à 22h55, pour celles et ceux qui n'aurait pas pu assiter à l'événement.


Sauvons les Kevin

Un documentaire realisé par un Kevin, pour les Kevin et avec des Kevin, il fallait y penser. C'est pourtant le pari fou entrepris par Kevin Fafournoux, directeur artistique, motion designer, et surtout réalisateur du documentaire Sauvons les Kevin. Depuis 2022, ce dernier a entrepris une campagne de financement participatif avec pour objectif la sortie d'un documentaire autour de ce prénom si populaire des années 90. On vous en parlait d'ailleurs déjà à l'époque lorsque la campagne venait d'être lancée.

« Sous un angle humoristique, ce film aura pour but d'analyser les stéréotypes et clichés autour de mon prénom et de voir comment ils entrainent des préjugés voire même de la discrimination, explique le réalisateur sur son site internet. Avec une ambition ludique, didactique, il permettra de comprendre ce type de mécanismes, d'encourager à les déconstruire pour mieux raisonner. Et qui sait, peut-être même inverser la tendance et remettre les Kevin à la mode. »

Et bonne nouvelle, après plusieurs années de travail, le documentaire est sur le point de sortir sur grand et sur petit écran. Comme promis, il mettra en scène tout un tas de Kevin aux expériences et horizons différents : un Kevin médecin, un Kevin avocat, des Kevin vieux, des Kevin jeunes, un Kevin qui a fini par changer de prénom... Tous partageront leur expérience et raconteront comment ils vivent avec ce même prénom. Bien évidemment, un documentaire ne serait pas complet sans quelques scientifiques pour donner leur avis : sociologues et chercheurs décrypteront les tendances et les mécanismes qui ont mené à cette vision stéréotypée de ce prénom. Le tout avec un univers pop et décalé, en référence aux codes visuels des années 90, période phare des Kevin. 

Et en attendant la sortie du docu, vous pouvez toujours aller faire un tour sur la page Ulule du projet ou sur le site de Kevin Fafournoux, pour en apprendre plus sur l'évolution du projet, sur le réalisateur, ou juste sur le prénom Kevin. 


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