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73% de femmes trompent leurs conjoints parce que….

Publié le 10 novembre 2016 à 00h00

Modifié le 21 novembre 2016 à 10h30

par Olivia

Etre en couple n’est pas facile tous les jours, tout le monde en conviendra. Il laisse son caleçon traîner par terre, elle ne fait pas la vaisselle, il ne rince jamais la baignoire, elle ne fait jamais le lit… Autant de choses qui irritent au quotidien. Et qui pousseraient même à aller voir ailleurs. C’est en tout cas ce que vient de révéler une étude menée par le site Gleeden. Selon celle-ci, 73% des femmes estiment que le manque d'implication de leur conjoint dans les tâches domestiques les ont poussées à l'infidélité.

A l’heure où les féministes font de plus en plus entendre leurs voix, et qu'en même temps Trump, sexiste avéré, vient d'être élu président des Etats-Unis, c’est une étude qui pourrait bien en secouer plus d’un. Eh oui les mecs il va falloir se mettre à faire le ménage si vous ne voulez pas que vos petites amies soient infidèles !

Le site de rencontre extra-conjugale Gleeden s’est intéressé à ce qui pourrait pousser à l’infidélité, et le résultat est clair : la répartition des tâches ménagères influerait directement sur la bonne entente et la solidité d'un couple. Ce qui pourrait en mener certaines à aller dans les bras d’un autre. 73% ont en effet avoués avoir trompé leurs conjoints car « il était trop peu impliqué dans les tâches quotidiennes ».

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Parce que le changement n’est pas forcément maintenant, les femmes continuent à assumer les deux tiers du travail domestique, nous révélait une étude de l'Insee parue en octobre 2015. Et ce ras-le-bol pourrait bien avoir des répercutions ! 

Parmi les 10 000 femmes interrogées, 86% disent être agacées par le manque d'implication de leur homme dans les tâches ménagères tandis que 84% se sont déjà disputées à cause de ça. Au final, tout part d’une envie de prendre soin de soi (43%) et aussi le besoin de se sentir féminine, sexy et valorisée - ce qui n’est pas prêt d’arriver quand on passe l’aspi (31%). 

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Quelques unes (18%) ont même carrément perdu leur désir quand leur petit copain ne levait pas le petit doigt !

Tout cela donne à réfléchir, surtout quand on apprend que l'égale répartition des tâches ménagères pourrait garantir une vie sexuelle plus épanouie. Selon une étude de l'université d'Alberta au Canada, les hommes qui font aussi le ménage auraient des rapports plus fréquents et plus satisfaisants. Les mecs, vous attendez quoi ? 

* Etude Gleeden.com menée du 26 octobre au 2 novembre 2016 auprès de 10 081 membres féminins

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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