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8 règles d\'or de la vie en colocation

Publié le 3 octobre 2017 à 16h25

par Coline

Cette année, ça y est, tu as ENFIN trouvé la coloc' de tes rêves. Un grand appart', dans un quartier de Paris pas trop dégueu, et des colocs en or : a priori, ça ne peut que bien se passer. A priori. Parce que dans les faits, figure-toi que les êtres humains ont quand même vite fait de se taper dessus pour des courses mal rangées, une vaisselle mal faite, ou un loyer en retard. Pour t’épargner ça et t’éviter de devoir rechercher un logement dans deux mois, voici huit règles d’or à suivre afin que ta coloc' soit à l’image de celle de l’auberge espagnole, idyllique.


1. Ton loyer à l’heure tu paieras

Cette règle vaut d’autant plus si c’est l’un de tes colocs qui paye pour vous tous (celui qui avait des parents suffisamment cool pour être sur le bail par exemple). Cette règle t’économisera 1) des engueulades et 2) des sous, puisque tu réaliseras bien vite que contrairement à ce que tu pensais, ce n’est pas parce que tu viens de toucher ton salaire que tu es riche comme Crésus. C’est juste parce que tu n’avais pas encore payé ton loyer. Et pour mieux faire passer ton retard, rdv sur Circle, où tu peux même envoyer des smileys d’amour avec tes sous.

loyer


2. Le budget courses tu établiras

L'idée de faire chacun ses courses c’est sympa, mais la plupart du temps, tu as tellement la flemme que tu te retrouves à étaler le fromage vegan de ta coloc' sur les Pringles de ton autre coloc', ce qui engendre une rébellion intense de ton estomac et la colère de tes deux potes. La solution ? Aller faire les courses pour tout le monde chacun son tour, et partager les frais sur Circle. C’est facile, efficace, et tu n’as pas besoin de RIB. Qui dit mieux ?

course


3. A plusieurs l'appart' tu meubleras

A la rentrée, vous avez eu comme des envies de design, vous vous êtes soudainement projetés dans la peau de Valérie Damidot et vous vous êtes pris à rêver de chaises vintage, de canapés hyper confortables, et de luminaires cosy. Sauf que tout ça a un prix. Plutôt que d’attendre Noël pour pouvoir chacun vous payer l’abat-jour qui va avec vos ampoules, mutualisez les frais et achetez en commun ce canap’ qui vous fait tant rêver.

vintage


4. L’addition tu partageras

Des virées ensemble, vous ne vous en faites pas si souvent vu que vous vous voyez tout le temps. Donc quand vous en faites une, vous aimeriez autant ne pas passer 2h devant l’addition, à recompter ce que X doit à Y, à soustraire la dernière bière que Z avait déjà avancé à V, etc. Pour ça c’est très simple, on rentre le montant sur Circle, et bim, la répartition devient beaucoup plus simple. Et on peut même se repayer une tournée pour fêter ça.

addition


5. Même tes potes à l'étranger tu rembourseras

Cet été, vous vous êtes fait une grosse semaine de retrouvailles avec tous tes potes d'Erasmus. L’avant et le pendant étaient géniaux, l’après un peu moins, avec tous les comptes à faire, surtout en monnaie étrangère. Désormais, fini la galère avec Circle ! Même si ton compte est en euro et celui de ton pote en dollars, tu peux lui envoyer la somme de ton choix, la conversion se fera directement et gratuitement. Si c'est pas beau ça.

vacances


6. Les frais de soirée tu répartiras

Le week-end prochain, grosse soirée de prévue à la coloc'. Pour une raison obscure, c’est toi qui est en charge d’acheter l’alcool. Et tu t’aperçois bien vite que la (bonne) vodka coûte un peu plus cher que des Chipsters. Pour ne pas commencer la soirée du mauvais pied en faisant gentiment remarquer à tes colocs qu’ils te doivent tous pas mal de sous, demande-leur avec le sourire par sms, sur Circle.

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7. Ta part des factures tu paieras

Les factures, c’est comme la première épilation : quand on n'est pas prévenu, ça peut être surprenant. Pour éviter les mauvaises surprises et le compte en banque à zéro dès le début du mois, anticipe et mets-toi d’accord avec tes colocs pour partager les factures équitablement entre vous. Chaque mois, tu n’as plus qu’à rembourser directement tes colocs, le tout sans RIB.

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8. Tes potes sans délai tu rembourseras

Tu l’as compris, la clé d’une bonne entente entre colocs, c’est comme dans le couple (il paraît), c’est la communication et le respect. Comme dirait l’adage, ne fais pas aux autres ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse, à commencer par faire inutilement traîner tes dettes. Pour te faciliter la vie, tu l'auras compris, on te conseille fortement l’appli Circle : tu envoies de l'argent aussi simplement qu'un SMS. Gratuitement. N'importe où.

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié aujourd'hui à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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