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Voici les aliments à consommer pour vraiment bien dormir

Publié le 31 janvier 2023 à 17h01

Modifié le 1 février 2023 à 11h21

par Nicolas Cogoni

Vous avez tout essayé : lire un bouquin, mater un documentaire sur l’expansion de l’univers, écouter du bruit blanc, rose ou brun, s’essayer à la marche mentale ou tout autre type de méditation, respiration… mais rien n'y fait, impossible de vous endormir. Et si vous commenciez par manger les bons aliments ? Pour que votre repas du soir favorise le sommeil, certains experts affirment qu'il doit contenir un acide aminé essentiel, le tryptophane.


Privilégier des aliments riches en protéines

Une fois dans votre corps, le tryptophane est converti en 2 substances chimiques du cerveau associées au sommeil : la mélatonine, qui aide à réguler les cycles naturels de sommeil et d'éveil de votre corps, et la sérotonine, qui provoque la relaxation et la somnolence. Et les aliments riches en protéines contiennent beaucoup de tryptophane.

Privilégiez donc les blancs d'oeufs, les graines de soja, le fromage à faible teneur en matières grasses, le poulet et les graines, comme la citrouille ou le sésame. Mais également les légumineuses comme les lentilles et les féculents tels que les pâtes ou le riz accompagnées de légumes, d’un laitage et d’un fruit. D’ailleurs les ananas, les oranges et les bananes peuvent également être liés à une augmentation des niveaux de mélatonine. 

À l'inverse, les aliments épicés, pauvres en fibres mais riches en graisses saturées et en sucre ou encore la caféine sont à éviter. Et surtout, faites en sorte de dîner au moins 2 ou 3 heures avant de vous coucher. 

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié aujourd'hui à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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