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Capucine Anav, Simon Castaldi… Ces influenceurs visés par le "name and shame" de Bercy

Publié le 2 juin 2023 à 15h27

Modifié le 2 juin 2023 à 18h22

par Flora Gendrault

Si vous êtes actifs sur les réseaux sociaux, vous êtes sûrement déjà tombés sur leurs profils. Ils sont pour l’instant au nombre de six : Illan Castronovo, Capucine Anav, Anthony Matéo, Gaetan Debled, Léa Monchicourt et Simon Castaldi, le fils de Benjamin Castaldi, viennent de voir leur nom épinglé par Bercy. Ils ont désormais l’obligation d’afficher sur leur page pendant 30 jours des posts rédigés par la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DCCRF). Une promesse du ministre de l’Économie Bruno Le Maire, qui affirmait début mai vouloir « donner les noms ». 

30 personnalités publiques seront révélées ultérieurement, selon une information du Figaro. Voilà ce qui peut désormais arriver aux influenceurs lorsque « les dispositions du code de la consommation, lorsqu’ils font la promotion de produits ou services » ne sont pas respectées. 


Qui sont ces influenceurs ? 

Parmi ces influenceurs, quatre ont fait de la télé-réalité : Illan Sastronovo dans Dix couples parfaits (NT1, 2017), Simon Castaldi dans Les princes et les princesses de l’amour (W9, 2021), Capucine Anav dans Secret Story (TF1, 2012) et Anthony Matéo dans La Belle et ses Princes presque charmants (W9, 2013). Gaetan Debled et Léa Monchicourt sont un couple d’influenceurs, parents de quatre enfants. 


Du justicier Booba à une loi définissant le statut d’influenceur 

Le marketing d’influence s’est considérablement développé au XXIe siècle. Avec les réseaux sociaux ont pu se mettre en place des marchés de niche, et l’ère de la participation a permis à n’importe qui de créer du contenu en ligne en collaboration avec les marques, du moment qu’une communauté plus ou moins large pouvait être touchée. 

Plusieurs personnalités, médiatisées par la télé-réalité mais pas que, ont alors pu en abuser, créant des business de cryptomonnaies et de trading pour certains (Marc Blata, Nadé…), faisant la promotion de sites de drop-shipping et des partenariats douteux pour d'autres (Dylan Thiry, Maeva Ghennam…). Des influenceurs dénoncés par le rappeur Booba, qui a engagé depuis 2021 une guéguerre à coups de hashtag #influvoleurs contre les dérives de l’influence, notamment contre la manageuse ultime du milieu, Magali Berdah.

Après la polémique, l’encadrement légal : aujourd’hui, le statut d’influenceur est enfin défini dans la loi avec le texte adopté jeudi 1er juin, proscrivant « la promotion directe ou indirecte, des actes, procédés, techniques et méthodes à visée esthétique ». Il en va de même pour les publicités mettant en avant les cigarettes (y compris électroniques), les Puffs, les offres de jetons numériques… Le "name and shame" devrait, lui, se systématiser. Les influenceurs flirtant avec le code de bonne conduite encourent aussi une peine de deux ans de prison et une amende de 300 000€. La peine d’emprisonnement peut s’étendre à sept ans, en cas de circonstances aggravantes.

Quelles seront les 24 prochaines personnalités citées ? 

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Ce café parisien donne des cours de tricot gratuits toutes les semaines

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par Clémence Varène

On le sait, ces dernières années, la capitale a connu un regain d'enthousiasme pour les activités manuelles, parfois considérées comme un peu désuètes. Preuve en est, on a assisté à l’ouverture de dizaines et de dizaines de cafés et d'ateliers pour apprendre à faire de la céramique, du tufting, des biscuits, des sacs, bref, un peu tout et n’importe quoi. Et on trouve ça plutôt cool. Petit dernier de cette liste, un extrêmement sympathique café du 3e, qui vous propose chaque mercredi de participer à un cours de tricot 100% gratuit, aiguilles et laine comprises !


Une histoire de famille

Les soirées tricot, dans ce café parisien, c’est une affaire familiale. D’un côté on retrouve Tom, cofondateur du Cortado Café avec son frère et sa belle-sœur, mais aussi de Charmi Wool, marque de vêtements qui propose des créations en laine 100% française réalisées à la main. De l’autre, Perrine Delfortrie, mère de Tom, qui s’occupe de donner les cours et prodigue ses précieux conseils à qui voudra bien les entendre.

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Il faut dire que chez eux, le tricot, c’est dans le sang, puisque Perrine est née avec des aiguilles dans la main, et que Charmi, nom de la marque de tricot, n’est autre que le nom de la Maison familiale de textile à Gérardmer. Ensemble, ils partagent donc leur goût pour la création, le partage, la bonne nourriture et les moments de détente en proposant ce rendez-vous convivial tous les mercredis soirs.


Un moment de déconnexion totale

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la formule a tout pour plaire, puisqu’une fois par semaine, ils invitent tous ceux qui le souhaitent à se rassembler autour d’un verre ou d’une assiette à partager (voire des deux), pour enchaîner les mailles, et créer la pièce de leurs rêves. Pas de prise de tête si vous n’y connaissez rien, tous les niveaux sont acceptés et, mieux encore, la laine et les aiguilles sont fournies afin de vous permettre de donner vie à toutes vos idées les plus folles. Dans un cadre extrêmement sympathique, certains se retrouvent ainsi depuis des mois afin de confectionner un pull, une écharpe, un bonnet, un sac… Voilà, maintenant, la prochaine fois que vous avez envie de passer un bon moment et que vous ne savez pas quoi faire de vos mains, rendez-vous au Cortado Café !

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Charmi wool x Cortado Café
Cortado Café
31, rue Charlot – 3e
Tous les mercredis soirs
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