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Paris n'est plus le département la plus romantique de France

Publié le 24 octobre 2024 à 08h30

par Rachel Thomas

Le spécialiste de la santé intime ZAVA a établi un indice du romantisme en se basant sur des critères aussi variés que les événements culturels, les spas, la beauté des paysages et, bien sûr, le nombre de restaurants. Résultat : un classement des départements les plus propices à la romance.


Le Rhône : 9,53/10 – La destination parfaite to love 

Les Parisiens vont détester ce classement car tout en haut du podium, c'est le Rhône (dont Lyon en gros). Mais qu'on se l'avoue, le département offre une multitude d'activités romantiques avec un patrimoine culturel qui ne cesse d'éblouir. Au programme : balades au bord de la Saône, visites de monuments historiques et dîners aux chandelles dans l’un des nombreux restaurants de Lyon. Avec ses 5,78 spas par 100 km², difficile de résister à l'appel du cocooning à deux. Une vraie bulle d’amour !

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Les Hauts-de-Seine : 9,51/10 - Un max d’amour aux portes de Paris

Qui aurait cru que ce département voisin de Paris était si bien classé ? Et pourtant, avec sa densité impressionnante de restos (1 466,03 par 100 km2) et ses nombreux événements culturels, les Hauts-de-Seine combinent l’énergie de la capitale avec une ambiance plus intime. À découvrir : une croisière romantique sur la Seine, le Parc de Sceaux, et une escapade au château de Malmaison.

Paris, ville de l’amour… Seulement 3e ? (9,45/10)

Oui, Paris est bien sur le podium, mais seulement en troisième position. Si les restos et les expériences romantiques ne manquent pas, la capitale est aussi victime de son urbanisation : peu de place pour la nature, ce qui fait baisser son score sur la beauté des paysages. Néanmoins, une balade au bord de la Seine ou un dîner en tête-à-tête sur une terrasse parisienne reste une expérience inoubliable.

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Et avec un score de 3,36/10, la dernière place est attribuée à... 

Tout en bas du classement... La Meuse. Pas de paillettes, pas de grands monuments, mais une nature apaisante, un souffle de tranquillité. Pour ceux qui aiment se perdre ensemble, loin du tumulte, c’est par ici. Quelques restos, des sentiers verdoyants, et l’impression d’être seuls au monde, juste l’un avec l’autre. C’est peut-être là la plus belle des romances. 

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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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