Tu penses que couper un sapin pour décorer ton intérieur c’est très mauvais pour l’environnement du coup tu préfères en acheter un artificiel ? Je t’arrête tout de suite, une étude québécoise démontre par A+B que le sapin naturel est bien moins néfaste que l’artificiel. Explications.
En France, sur 6 millions de personnes qui achètent un sapin pour Noël, 1 million d’entre elles optent pour un artificiel. Moins d’arbres coupés et moins d’épines sur le sol, un achat eco-friendly ? Les sapins artificiels sont fabriqués en Asie, souvent en Chine, à partir de plastique non recyclable. Non seulement leur fabrication est polluante mais leur exportation l’est aussi. Le processus de production est coûteux en énergie et en plastique, il dégage donc beaucoup de gaz à effet de serre. C’est vrai qu’il est réutilisable, mais les Français ne le ressortent, en moyenne, que 3 années de suite. Il finit par être un peu décrépit ce sapin ! Ça veut dire plus de déchets dans les décharges.
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L’arbre de Noël naturel, quant à lui, produit de l’oxygène à partir de dioxyde de carbone toute sa vie. Sachant qu’il est coupé entre ses 5 et 10 ans, il aspire entre 3,5 et 7 kg de CO2. Autre point positif, le sapin est produit par une agriculture raisonnée dans le pays de son acheteur, ici, en France. Pas de transport = moins de rejet de CO2.
Contrairement au sapin artificiel, son rival naturel peut avoir une seconde vie ! En 2009 par exemple, 25 000 d’entre eux ont été transformés en composte destiné à fleurir les ronds-point du pays. 7% ont même été replantés.
Bref, pour reprendre les chiffres de l’étude, les sapins naturels produisent 3,1 kg de dioxyde de carbone contre 8,1 pour les artificiels ! Il faudrait donc que tu gardes ton arbre en plastique pendant 20 ans pour que ton bilan carbone soit meilleur que celui de ton pote qui achète un sapin de forêt.
Avec l'arrivée du soleil et l'approche des grandes vacances, on rêve d'ailleurs. Pour voyager tout en restant dans la capitale, on vous a concocté une liste do braziou ! Voici les meilleurs restaurants brésiliens de Paris, à déguster sans modération.
Mexicaine, grecque, italienne, thaïlandaise... Paris regorge de cuisines singulières venues des quatre coins du monde. Et quand on rêve d'une petite escapade gastronomique, le Brésil et ses plats riches et goûtus nous vient tout de suite en tête. Alors, tenté·e ?
Gabriela
En poussant les portes vertes de Gabriela, on entre dans une véritable jungle urbaine. Le restaurant-épicerie s'illustre telle une favelas, haute en couleur et en saveur. Sur place ou à emporter, on déguste par exemple le fameux Feijoada,plat national brésilien à base de porc, haricot noir, riz et chou vert, ou le Vatapá, une crème au lait de coco, gingembre et épices accompagnée de gambas sautées. Pour les petites faims ou en entrée, on retrouve une multitude de "Petiscos" comme les frites de manioc (Mandioca frita), ou les célèbre petits pains au fromage (pão de queijo).
Envie de chaleur ? Brasileirinho fait monter la température, ambiance carnaval de Rio. Entre tradition et innovation, les classiques (revisités ou non) de la cuisine brésilienne sont tous à la carte. Pas de lianes ou de sables d'Ipanema pour la décoration, mais le soleil est bien dans les assiettes. Le petit plus : le week-end, des musiciens locaux assurent le show.
Ce petit restaurant importe la chaleur brésilienne avec sa cuisine traditionnelle et ses sons dansants. On retrouve la lambada dans les assiettes : des couleurs, des saveurs, des assiettes généreuses. Ne comptez pas sur le décor épuré et ses canapés chesterfield pour vous faire voyager en Amérique du Sud, tout se passe en cuisine !
Pour leur premier resto, Lucas Baur de Campos et Ninon Camille Lecomte, couple franco-brésilien, avaient un objectif : « Mettre à l'honneur la culture du bœuf cuit au BBQ comme ils font en Uruguay notamment ». Originaires du sud du Brésil, à la frontière entre l'Uruguay et l'Argentine, les deux cuistots voulaient ramener à Paris ce côté « feu de bois, BBQ»qui manque à notre cuisine parisienne. L'idée ? Utiliser des produits locaux et y apporter une touche brésilienne, uruguayenne et argentine. Simple, efficace et terriblement goûtu. Pour en savoir plus, rendez-vous sur leur page Facebook.
À la recherche d'un restaurant de viande à volonté ? Votre investigation prend fin ici. Chez Rodizio, la viande, c'est sacré. Il vous faudra vous rendre à Colombe pour profiter de ces mets grillés à la broche : rumsteack, poulet, agneau... Tous les viandards seront à coup sûr comblés. L'expérience culinaire brésilienne s'accompagne d'une explication autour du rodizio, qui vient du verbe "rodar" en portugais qui signifie "tourner". Ah oui, dernière info mais pas des moindres : ce restaurant brésilien est aussi halal.
Direction la Rive Gauche pour profiter de plats gourmands et de soirées festives. Au menu, des tapas à partager, mais aussi des plats individuels traditionnels : Feijoada, Maoqueca de Camarao, Xinxim de Galinha et on en passe. Des noms exotiques qui, on vous l'assure, vont vous faire saliver et qui s'associent à merveille avec la musique live et les soirées DJ régulièrement organisées.