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Voici à quoi ressembleraient nos réseaux sociaux s\'ils étaient des objets

Publié le 27 avril 2018 à 15h04

Modifié le 27 avril 2018 à 16h07

par Enzo Leclercq

On les utilise tous les jours.

Les réseaux sociaux remplissent notre quotidien. Le matin, on check notre feed Facebook, à midi on tweet sur l'actu, dans l'aprèm' on post des stories Snapchat rigolotes, et le soir on scroll sur Instagram. Bon, c'est pas forcément aussi programmé que ça mais vous voyez l'idée quoi. 

Un artiste américain nommé Ben Fearnley s'est donc demandé à quoi ressembleraient ces réseaux sociaux s'ils avaient un état physique. Voici nos applis préférées présentées sous forme d'objets du quotidien. 


Facebook 

Il est très rare de rencontrer quelqu'un qui n'a pas Facebook aujourd'hui. Du coup, quand tu veux en savoir plus sur une personne (car nous sommes tous un peu stalkers dans l'âme), le premier truc à faire est d'aller voir son compte. 

Sauf que pour aller voir dans la vie des autres, il faut son propre profil. Du coup, si on a notre propre machine de voyeur, on est souvent nous aussi dans le viseur d'un autre stalker. 


Twitter

Si vous adorez suivre l'actualité, mais aussi faire des blagues, donner votre avis et commenter celui des autres, vous êtes forcément devenu un utilisateur avide de Twitter. Sur le réseau social du hashtag, vous pouvez dire des trucs que vous ne posterez jamais en statut Facebook. 

Et il faut avouer que parfois, ça fait vraiment du bien. 


Snapchat

Si certains n'utilisent absolument pas Snapchat, d'autres ne peuvent s'en passer. Le réseau social qui permet d'envoyer des photos et des messages éphémères est en effet assez particulier. 

Mention spéciale pour les inscriptions sur le côté qui précisent qu'il ne faut que mettre dans le broyeur des snaps inutiles, des vidéos floues, des photos de b***, des dessins niveau CP, des nudes et des filtres stupides. Merci. 


Instagram

Il faut être beau dans la vie. Enfin, non, on VEUT être beau. Enfin... On essaie quoi. Bon ok, on n'y arrive pas. Mais on essaie quand même d'avoir des likes, par tous les moyens possibles (bon pas TOUS, certes... quoique). 

En fait on a juste besoin de nourrir son ego. Bah ouais, c'est tout.


Alors, utiliserez-vous ces objets dans la vie réelle ? Non ? Ouais c'est glauque en fait hein. Beurk. De quoi vous dégoûter des réseaux sociaux une bonne fois pour toutes.... Bref, je vous laisse j'ai un post instagram à faire, et je compte bien avoir plus de 10 likes cette fois. 

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Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

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Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
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