romanticparis

Voici les rues de Paris où vous avez le plus de chance de trouver l'amour

Publié le 6 février 2024 à 11h43

Modifié le 6 février 2024 à 12h40

par Rachel Thomas

Ah, l'amour à Paris... une ville si romantique qu'elle fait fantasmer le monde entier. Si les rencontres virtuelles ont pris de l'ampleur, rien ne remplace la magie d'une rencontre fortuite au coin d'une rue. Une étude fusionnant les données d'Happn et de SeLoger vient de dévoiler les rues parisiennes où l'amour pourrait bien vous surprendre.

 

Les 3 rues pour trouver l'amour 

1. L'Avenue Victoria (4e). Pour les célibataires créatif·ve·s, le lieu idéal pour rencontrer l'amour se trouve dans le vibrant 4e ! Avec ses petits cafés et ses boutiques pittoresques, l'avenue Victoria offre une ambiance artistique propice aux rencontres romantiques. 


2. Rue Cardinet (17e). Nichée au cœur des Batignolles, rue Cardinet représente un endroit parfait pour les célibataires à la recherche d'une relation sincère et stable. Cette rue tranquille et résidentielle qui cumule un grand nombre de studios, offre un cadre idéal pour de futures rencontres amoureuses.


3. Rue Pajol (18e). Pour les célibataires curieux, cette rue est l'endroit parfait pour trouver l'amour. Véritable melting-pot culturel, cette rue profite d’un grand nombre de T1, d’une atmosphère décontractée et animée où les nombreux bars et brunchs sont propices aux rendez-vous amoureux.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par FredBS (@instabadina)

Les crush de quartier

Selon un sondage de Happn, 43 % des participant.e.s avouent avoir déjà eu un coup de cœur, déclaré ou non, pour un voisin ou une voisine, tandis que 36 % ont avoué avoir ressenti un Crush envers un.e commerçant.e du quartier. 

Vous savez désormais quelles rues il vous reste à fréquenter si vous cherchez l'amour ! 

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
shutterstock-2471998729

Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


À LIRE AUSSI