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Un dîner d'époque avec Stéphane Bern dans un monument historique !

Publié le 22 mai 2024 à 16h30

Modifié le 23 mai 2024 à 11h37

par Clémence Varène

Pour célébrer les 10 ans de son arrivée au sein du Pavillon Ledoyen, celui qui vous fait frémir aussi bien avec des assiettes 3 étoiles qu’avec des burgers nous convie à un dîner unique. Pendant toute une soirée, Yannick Alléno revisite des plats historiques, lors d’un repas en 5 services qui fera à n’en pas douter vibrer les papilles des heureux convives. Une table exceptionnelle, présidée par celui qui connaît la France mieux que personne : Stéphane Bern. Main dans la main, chef et journaliste nous entraînent pour une soirée incroyable.


Des plats d’époque revisités

Pour rendre hommage au magnifique bâtiment qui abrite son restaurant, le Pavillon Ledoyen, érigé en 1792, le chef Alléno imagine des plats uniques, inspirés de recettes d’une autre époque, sublimées et réinventées pour être au goût du jour. En résultent deux entrées, deux plats et un dessert somptueux présentés dans un accord mets et vins pensé spécialement pour l’occasion.

Tout au long du repas, chacune des assiettes sera commentée par Stéphane Bern, qui ne tarira pas non plus d'anecdotes concernant le cadre du dîner entre deux plats, puisque le Pavillon Ledoyen est un monument historique. Une soirée qui promet donc d’être absolument folle, mais qui, malheureusement, a un certain coût. En effet, pour pouvoir accéder à cette expérience, il faudra tout de même débourser la modique somme de 850€…

Même si on adore ces deux compères, on tient quand même à notre PEL, et on passera donc notre tour pour cette fois. Mais si, de votre côté, vous pouvez vous laisser tenter, on vous laisse avec le menu détaillé, histoire de vous mettre l’eau à la bouche… ou juste de vous faire rager comme il se doit !


À table !

Œuf Froufrou au Caviar Osciètre Prunier (champagne Billecart – Salmon « Brut sous Bois »)
Jolies Demoiselles de Guilvinec pochées à la nage, sauce vert pré (Pouilly fumé « Léon », domaine Jonathan Didier Pabiot 2020)

Turbot grillé à la moelle, petites girolles (Vougeot premier cru « Le Clos Blanc » Domaine de La Vougeraie 2017)
Chateaubriand de bœuf Wagyu, sauce Solférino et pommes allumettes, servi à la française (Saint-Julien, Château Beychevelle Grand Cru classé 2011)

Savarin au rhum blanc, chantilly soyeuse au sucre Galabé (Tokaji Aszu « 5 Puttonyos », Disznoko 2013)

Dîner Historique
Alléno Paris
Pavillon Ledoyen
8, avenue Dutuit – 8e
Réservation par tél. : 01 53 05 10 00
850€/pers. 
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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié aujourd'hui à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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