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Un immense bal brésilien s’invite au Grand Palais cet été !

Publié le 9 mars 2025 à 18h00

par Lucie Guerra

Plumes, paillettes, ambiance festive et des airs de samba qui retentissent… Non, ce n’est pas une excursion au carnaval de Rio que l’on vous propose, mais bien la plus brésilienne des expériences parisiennes. Le samedi 5 juillet 2025, la nef du Grand Palais va accueillir le Grand Bal Rio-Paris, et autant dire que l’événement promet d’être absolument grandiose ! 

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Une saison culturelle liant le Brésil à la France

C’est dans le cadre de la saison culturelle Brésil-France 2025 que vient s’inscrire ce Grand Bal. À quoi s’attendre ? À cette ambiance pétillante et endiablée dont le Brésil a le secret, dans l’un des plus grands monuments de la capitale française. Évidemment, la danse sera à l'honneur tout au long de la soirée, sur des musiques brésiliennes typiques. Le Grand Palais a d’ailleurs invité Gabriel Haddad Gomes Porto et Leonardo Bora, deux personnalités bien connues du carnaval de Rio, qui viendront à Paris accompagnés de leurs troupes de danseur·ses


Des événements organisés au Grand Palais tout au long de l'été 2025 

Ce Grand Bal ne sera pas le seul événement à mettre le Brésil à l’honneur à Paris à l’été 2025. Une installation gratuite de l’artiste Ernesto Neto sera également mise en place. Le dimanche 6 juillet, la fête se déploiera dans la rue à l’occasion d’une grande parade brésilienne sur les Champs-Élysées. 

Faire de l’espace sous la verrière un « Grand Palais d’été », telle est l'ambition de Didier Fusillier, aux commandes de l’institution parisienne depuis septembre 2023. Si le Grand Palais a fait l’objet de nombreux travaux de rénovation ces derniers mois et rouvre progressivement aux visiteurs, le directeur souhaite qu’une fois l'été venu, le monument soit « un point central des animations estivales », a-t-il expliqué lors d’une conférence de presse le 9 décembre dernier. Ainsi, dans le centre de la nef, il y aura « des spectacles, des bals, des fêtes ». Ça promet, non ?


Grand Bal Rio-Paris
Grand Palais
7, avenue Winston-Churchill – 8e
Samedi 5 juillet 2025
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Les expressions de cette région française seraient les plus ridicules, selon une étude

Publié hier à 20h00

par Lucie Guerra

Il vous est certainement déjà arrivé de partir en week-end en Alsace, à Marseille ou même à Lille et d’entendre de curieuses expressions, absolument incompréhensibles pour vous, mais très fréquemment utilisées dans la région. Dans le cadre d’une étude, Preply s’est justement concentré sur les langues régionales et leur utilisation dans tout l’hexagone. Au nombre de 75, elles font de la France un pays avec une diversité linguistique extrêmement riche.

D’ailleurs, parmi les 1500 participant·e·s interrogé·e·s, 67 % se disent favorables à l’enseignement des langues régionales à l’école. L’étude s’est également penchée sur les expressions jugées les plus ridicules. Que les choses soient tout de suite claires : on n’est pas d’accord du tout avec le résultat !


L'Alsace en tête de classement

Les Alsacien·ne·s de la rédaction ont vu rouge à la lecture de ce classement. 24,4 % des sondés estiment que les expressions alsaciennes sont les plus ridicules, notamment en raison de leurs sonorités en « sch » placées à tout va et de leur complexité de prononciation. On ne voit pourtant pas la difficulté à dire schmoutz (bisou), schlopps (pantoufles), schatz (trésor), schluck (gorgée) ou schlass (fatigué), mais ça ne tient qu’à nous. 

Les expressions marseillaises arrivent en deuxième position, et les expressions lyonnaises complètent le podium. Ainsi, avec 14,4 %  fada (fou), dégun (personne), minot (enfant), emboucaner (prendre la tête) et tarpin (très), devancent de peu pelo (mec), cher (beaucoup), gone (enfant), se la racler (se la raconter) ou chaber (regarder) qui sont jugées ridicules par 12,6 % des sondés. 


Six autres régions comprises dans le classement 

12,5 % des personnes interrogées jugent les expressions lilloises (drache (pluie), braire (pleurer), biloute (homme)) comme ridicules, tandis que 10,7 % ont indiqué les expressions nantaises (pochon (sac plastique), guené (trempé), seriner (pleuvoir un peu)). 

Les expressions bordelaises comme gavé (beaucoup), chocolatine (pain au chocolat), ou aller au maille (aller au travail) arrivent ensuite avec 8,5 %, suivies des expressions niçoises comme bordille (ordure), cagade (bêtise), ou ficanas (curieux) avec 7,7 %. Les expressions toulousaines comme bouléguer (se dépêcher), rouméguer (ronchonner), ou cagne (flemme) et les expressions montpelliéraines telles que péguer (coller), cagnard (soleil), ou s’enfader (s’énerver) arrivent en fin de liste avec respectivement 5,4 % et 3,7 %.

 

Une réponse à l'éternel débat Pain au chocolat/ Chocolatine/Petit pain ?

L’étude a également tenté de trouver une réponse à l'éternel débat qui oppose les termes Pain au chocolat, Chocolatine, et Petit pain. Le premier est employé par 46,5 % des sondés, le second par 23,5 % et le dernier par 30 %. On ne sait pas vous, mais nous on est un peu schlass de ce débat quand la réponse évidente est Petit pain... À bon entendeur !


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