Les surfeurs qui courent planches à la main vers l’océan, les kangourous qui viennent à votre rencontre dans les parcs naturels, les eaux si turquoise qu’elles en sont transparentes, le désert à la terre orangée unique qui s’étend à perte de vue…
Par sa richesse et sa singularité, l’Australie est le pays qui en fait rêver plus d’un·e. Cette nouvelle va donc probablement vous ravir : à partir de l’année prochaine, fini les escales interminables dans des aéroports lointains. Un vol direct va relier Paris à l’Australie !
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Paris-Perth en quelques heures
Vous pouvez d’ores et déjà commencer à économiser ! À partir du 12 juillet 2024, la compagnie aérienne Qantas reliera Paris à la célèbre ville de Perth, située sur la côte ouest de l’Australie. Le vol sera direct et prendra seulement 17h.
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Une véritable innovation puisque jusqu’à présent, tous les vols entre la France et l'Australie requéraient une escale de plusieurs heures qui allongeait le temps de voyage à parfois plus de 20h. À son lancement, le trajet sera fait quatre jours par semaine puis passera à trois jours à partir de la mi-août.
Une destination de choix, à l'impact environnemental conséquent
Sixième plus grand pays du monde, l’Australie est une destination de plus en plus prisée par les touristes internationaux en quête d’évasion et de choc culturel. Selon Données Mondiales, le nombre de visiteurs n’a fait qu’augmenter chaque année entre 1995 et 2019, passant de 3,73 à 9,47 millions de touristes annuels.
Si la nouvelle du vol entre la France et l'Australie est on ne peut plus réjouissante, cette initiative ne va néanmoins pas être sans conséquence écologique, puisque le secteur aérien fait partie des plus polluants. En 2021, une étude publiée par Science Direct a révélé qu’il était responsable de 2,9% des émissions de CO2 à l’échelle mondiale.
Pour ce trajet d’environ 15 119 kilomètres accueillant plus de 220 passagers, l’ADEME explique qu’il faut compter en moyenne 151,66 g CO2/km/personne avec l’impact des traînées. Pour illustrer ces chiffres, Greenly a utilisé l'exemple d'un aller-retour entre Paris et New York qui émet en moyenne 1,75 tonnes de CO2, pour un trajet de 5836 kilomètres. D’après les données obtenues à l'aide du calculateur d’émission de vol MyClimate, un aller-retour entre la capitale française et Perth émettra approximativement 4,9 tonnes de CO2.
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