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Ces 3 signes vont grave pécho cet été

Publié le 14 juin 2024 à 16h15

Modifié le 14 juin 2024 à 17h30

par La Rédac'

Cher·es Bonbons, bien que ce soit difficile à croire, l’été approche à grands pas. Dans une semaine, à nous les températures clémentes, les longues soirées passées à l’extérieur et les vêtements plus légers. Espérons-le. Qui dit été, dit rythme ralenti et douceur de vivre. Cela signifie aussi partir en vacances et faire de nouvelles rencontres. Après tout, « c'est le temps de l'amour, le temps des copains et de l'aventure », chantait notre chère Françoise Hardy. Pour vous, Gémeaux, Balance et Capricorne, la saison va particulièrement être propice aux petits flirts estivaux, voire à plus, si affinités. 


Gémeaux (21 mai - 21 juin)

Oui, non, peut-être, j’y vais, j’y vais pas… Arrêtez de tourner en rond les Gémeaux ! On sait que se séparer du passé fait aussi mal qu’un sparadrap arraché, mais il est temps de laisser place à la nouveauté. À force de ressasser en boucle vos relations qui ont foiré, vous n’allez que vous rapprocher un peu plus du gouffre et on vous le dit, une fois qu’on l’atteint, c’est vraiment très relou den sortir. Alors on fait table rase, on prend ses responsabilités, on part festoyer tout l’été. On vous jure, votre aura de meuf·mec tout·e détendu·e en attirera plus d’un·e !


Balance (22 septembre - 23 octobre)

Balance, il est temps d’user de vos charmes que vous aviez jusqu’alors rangés au placard. Vous qui êtes d’un naturel si sensible et rêveur, profitez de cette saison où tout va toujours mieux pour faire de votre vie cette comédie romantique dont vous rêvez tant. De toute façon vous vivez dans un film, autant vous emparer du scénario ! Que vous restiez chez vous ou partiez en voyage, laissez-vous surprendre par les personnes que vous pourriez rencontrer. De un vous allez kiffer, de deux, ça pourrait bien vous aider à passer à autre chose en soignant vos blessures du passé. Et puis qui sait, peut-être que ça pourrait être bien plus qu’un flirt d’été !


Capricorne (23 décembre - 22 janvier)

Ok vous avez peur d’être trahi·e, ok vous ne pouvez pas toujours contrôler la situation et ça vous fait sacrément flipper, mais laissez ces moods moroses et fatalistes de côté Capricorne. C’est l’été, le soleil vous sourit autant que la vie. Qui dit nouvelle saison, dit renouvellement, amour naissant et surtout spontanéité. Alors lâchez votre tendance control freak, respirez un bon coup et profitez de ce moment pour tenter de nouvelles expériences et explorer de nouvelles relations. Promis, tout va carrément trop bien se passer ! 

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La série Adolescence sera diffusée dans les collèges et lycées britanniques

Publié hier à 20h00

par Flora Gendrault

Downing Street l’a officiellement annoncé en début de semaine : la mini-série Adolescence, sur toutes les lèvres depuis sa sortie, sera bel et bien diffusée gratuitement dans les collèges et lycées britanniques. Une mesure initiée par le Premier ministre Keir Starmer lui-même, qui avait publiquement pris la parole pour vanter les mérites d’un programme extrêmement bien mené et instructif, soulevant des questions sociétales cruellement d'actualité


Prouesses technique et scénaristique  

Adolescence a beau n’être sortie qu’à la mi-mars, c’est peut-être déjà la meilleure série de l’année. En débarquant sur Netflix, et sans avoir pourtant fait l’objet d’une campagne promotionnelle démesurée, elle a immédiatement reçu un accueil extrêmement favorable de la presse et des spectateur·rices, et ce aux quatre coins du globe. 

Un coup de maître des créateurs, Jack Thorne et Stephen Graham, lesquels sont parvenus à mettre en scène de manière magistrale les causes et conséquences du meurtre de Kathy, adolescente de 13 ans, poignardée à de multiples reprises par Jamie, un camarade de classe du même âge. Le tout en (seulement) quatre épisodes tournés intégralement en plan-séquence, renouvelant ainsi cette technique largement exploitée au cinéma, moins sur le petit écran, autour d’un récit nerveux traitant de thématiques liées à la jeunesse. 


Dénoncer la spirale du masculinisme
 

Ces thématiques, quelles sont-elles ? Le harcèlement scolaire, la construction de genre sur les réseaux sociaux, et notamment la culture "incel", ces hommes involontairement célibataires qui accusent les femmes de les rejeter. Dans Adolescence, en immersion au cœur d’un commissariat, puis d’une école, et enfin d’une maison de famille, on comprend que Jamie (époustouflant Owen Cooper, nouveau prodige du milieu), élevé à la dure, impopulaire, s’est peu à peu enfermé dans la spirale du masculinisme, jusqu’à commettre un féminicide. Une misogynie alimentée par son activité sur Internet, où se créent de nombreuses communautés réactionnaires, séduites par la théorie du 80/20 d’Andrew Tate, selon laquelle 80% des femmes ne seraient attirées que par 20% des hommes. 


De l’ordinateur au Parlement 

Au Royaume-Uni, terre de tournage mais aussi théâtre d’attaques de même nature ces dernières années, Adolescence a connu une résonnance toute particulièrement. Jusqu’à dépasser les frontières de l’écran : la série a ravivé le débat sur l’utilisation des téléphones, mais aussi sur l’éducation, levier essentiel pour déconstruire les idéologies véhiculées sans régulation sur le web. Diffuser Adolescence au palais de Westminster ainsi que dans les collèges et lycées depuis une plateforme partenaire à Netflix, comme l’avaient publiquement encouragé la députée travailliste Anneliese Midgley, puis Keir Starmer, en marque la première étape. 

« C'est une initiative importante pour encourager le plus grand nombre possible d'élèves à regarder le programme », a déclaré le Premier ministre, qui a lui-même vu la série avec ses enfants adolescents, comme 66 millions de personnes en deux semaines sur Netflix. Un record pour une mini-série britannique ! 


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