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Pour l'Épiphanie, cette boulangerie propose une galette des rois en forme de... pénis

Publié le 3 janvier 2024 à 17h56

Modifié le 3 janvier 2024 à 19h07

par Clémence Varène

C’est la grande spécialité de cette boulangerie située à deux pas d’Hôtel de Ville. Transformer tous les produits imaginables pour leur donner la forme d’un pénis. Et après les baguettes, les bonbons et les tartes aux framboises, saison oblige, c’est maintenant la galette des rois qui y passe !

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La Galette magique

Après "la Bistouquette", le "Zizi choc" ou la "Baguette magique", la « première boulangerie gay de France » revient avec son incontournable "Galette magique", pour notre plus grand plaisir. Aux formes généreuses, elle est fourrée d’une incontournable frangipane. Car oui, si la forme, elle, est complètement inédite, le goût lui reste quand même classique, il ne faut pas forcer non plus. Et puis, parce qu’il ne faut pas oublier que ce n'est pas la taille qui compte, la délicieuse galette sera disponible en plusieurs formats, pour régaler les grands et les petits. On vous conseille quand même de bien choisir avec qui vous décidez de la partager !

Legay Choc
33, rue Rambuteau – 4e
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serge-gainsbourg

Des soirées cinéma intimistes organisées à la Maison Gainsbourg en avril

Publié hier à 20h00

par Flora Gendrault

Tout le monde connaît Serge Gainsbourg, l’illustre interprète, mais beaucoup oublient la carrière cinématographique de l’artiste en parallèle de la chanson. Tantôt acteur, tantôt réalisateur et parfois compositeur, Gainsbourg est intervenu aussi bien au cinéma qu’à la télévision, dans des films au succès relatif, que son ancienne maison devenue musée propose de (re)découvrir du 14 au 28 avril, comme relayé par Vogue. Une manière de lui rendre un nouvel hommage, mais sous un angle inédit, alors qu'il aurait fêté ses 97 ans ce mois-ci. 


L’empreinte Gainsbourg au cinéma 

Avec le soutien de la maison Saint Laurent et en partenariat avec l’INA et le Centre national de la musique, cette première série de projections débutera en beauté avec deux films cultes : Anna (1967) de Pierre Koralnik et À bout portant (1973) de Roger Sciandra.

Dans Anna, Serge Gainsbourg joue les cupidons de service et aide son pote Serge (Jean-Claude Brialy) à retrouver une mystérieuse inconnue (Anna Karina) croisée dans une gare. Ajoutez à ça une apparition de Marianne Faithfull en tante entremetteuse, et vous obtenez un petit bijou pop et décalé.

À bout portant, quant à lui, plonge dans l’intimité de la vedette, chez lui, rue de Verneuil, entouré de Jane Birkin et de leur jeune enfant, Charlotte. Un documentaire qui sent bon la clope, le whisky et la poésie, entre objets fétiches, bibliothèque pleine à craquer et confidences, à regarder directement depuis l’institution, dans l’un des sièges feutrés de Gainsbarre. 


Associer la rencontre à l’image 

Afin d’éclairer ces œuvres au regard de la science, de la musique ou du cinéma, les quatre séances – organisées les lundis 14, 21 et 28 avril – seront suivies de discussions avec des invité·es passionnant·es : Pierre Koralnik (le réalisateur d’Anna), Sébastien Merlet (commissaire scientifique du musée et spécialiste de Gainsbourg), Stéphane Lerouge (grand manitou des bandes originales), ainsi que les journalistes Pauline Baduel et Gautier Roos (madelen, INA). Du beau monde pour déchiffrer le phénomène de scène et d’images, aussi populaire que controversé, que fut Gainsbourg. 

La Maison Gainsbourg fait son cinéma
Maison Gainsbourg 
Du 14 au 28 avril 2025
14, rue de Verneuil – 7e 
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