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Désormais, Sean Bean n’acceptera plus de mourir à l’écran

Publié le 24 septembre 2019 à 18h21

Modifié le 25 septembre 2019 à 10h22

par La Rédac'

L’acteur britannique en a marre de casser sa pipe à tout bout de champ. Il a donc décidé de ne plus accepter les rôles de personnages qui ne restent pas en vie.


Véritable icône internet devenu un meme, Sean Bean en a ras-le-bol. Après 35 ans de carrière au cinéma et au petit écran, l’acteur britannique dit stop aux décapitations intempestives et aux balles dans la tête tous les deux films.

Et pour cause, l’acteur compte désormais 23 morts tragiques en carrière. Wikipédia consacre même une rubrique sur la page de l’acteur, pour expliquer de quelle façon chacun de ses personnages rend son dernier souffle.

Du coup, l’acteur a expliqué au Sun qu’il a déjà refusé des rôles parce que le public s’attend à une fin tragique dès lors qu’il incarne un personnage : « Le public sait que mon personnage va mourir parce que c’est moi qui l’incarne ! Je devais me séparer de tout cela et commencer à survivre. »

Ce running gag laisse parfois place à des échanges insolites entre l’acteur et ses producteurs : « Ils m’ont dit qu’ils voulaient tuer mon personnage. J’ai dit "oh non !" alors ils m’ont demandé s’ils pouvaient me blesser grièvement. J’ai dit ok si je restais en vie cette fois. »

Il faut dire que ses morts à répétition dans tous les scénarios ont bien fait rire la toile. Le top 10 de ses meilleures morts comptabilise plus de 2 millions de vues sur YouTube. Mais ce n'est pas tout. La carrière de l’acteur a également bénéficié du soutien de nombreux fans après une nouvelle décapitation dans Game of Thrones. En effet, une pétition nommée "Ne tuez pas Sean Bean" avait recueilli de nombreuses signatures et de nombreux témoignages.

Plus besoin de se casser la tête désormais, l’acteur dit stop à la faucheuse !

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Ce magnifique lycée strasbourgeois fait officiellement partie des meilleurs de France

Publié hier à 19h00

par Antoine Lebrun

Chaque année, la compétition est rude pour figurer parmi les meilleurs lycées de France. Avec un taux de réussite au bac flirtant avec les sommets – 96,1 % en filière générale et 90,3 % en technologique – il devient difficile de départager les établissements sur ce seul critère. C’est pourquoi d’autres éléments sont pris en compte : la capacité d’un lycée à faire progresser ses élèves, le taux de mentions et l’accompagnement des lycéens de la seconde jusqu’à la terminale.

Un lycée strasbourgeois parmi l'élite française

En s’appuyant sur les chiffres du ministère de l’Éducation nationale, Le Parisien a dévoilé son classement des meilleurs lycées en 2025. Et cette année, un lycée strasbourgeois tire clairement son épingle du jeu en pointant à la 6e position du classement national. Il s'agit du Lycée général des Pontonniers Sections Internationales (dans le secteur public) avec une note impressionnante de 16,14. L'établissement strasbourgeois est d'ailleurs le seul représentant non-parisien du top 8 national. 

Un classement dominé par les établissements parisiens

Au sommet du podium, le Lycée polyvalent International de l’Est Parisien (Noisy-le-Grand, secteur public) rafle la mise avec une note générale de 16,59. Il est suivi du Lycée général Condorcet (Paris 9e, 16,32) et du prestigieux Lycée Henri IV (Paris 5e, 16,31). Fait notable : les 10 premiers lycées du classement national sont tous publics, preuve que ces établissements d’excellence rivalisent avec les grandes institutions privées.

Pour établir ce palmarès des meilleurs lycées, Le Parisien a mis en place une méthodologie rigoureuse, attribuant à chaque établissement une note sur 20 en fonction de plusieurs critères clés. L’excellence des résultats est au cœur de l'évaluation : les équipes ont analysé le taux de réussite au bac, le pourcentage de mentions et les indicateurs de valeur ajoutée, qui mesurent la capacité d’un lycée à faire progresser ses élèves, indépendamment de leur niveau d’entrée.

Mais un bon lycée ne se résume pas à ses chiffres. Le Parisien a également tenu compte, dans une moindre mesure, de la diversité sociale des élèves, valorisant les établissements qui jouent la carte de la mixité, ainsi que du nombre de spécialités proposées, pour offrir un large choix aux lycéens.


Le classement complet


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