Vous aussi vous avez quelqu’un autour de vous qui vous bassine avec cette histoire de cauchemars et de fromage ? (Rachel, c’est bien de toi qu’on parle) Oui, parce qu'apparemment, se faire une tartiflette avant de se coucher ne serait pas une si bonne idée que ça. Pour beaucoup, c’est synonyme de nuit compliquée et de rêves traumatisants.
Une légende urbaine ? Telle est la question. Pour élucider le mystère, le centre Sleep Junkie, spécialisé dans le sommeil (comme son nom l’indique), décide de se pencher sur le problème. Pour ce faire, l’équipe doit recruter cinq cobayes qui, durant trois mois, vont se faire des festins fromagés avant de se jeter dans les bras de Morphée. Le but étant, évidemment, de trouver les vrais liens entre le fromage et la qualité du sommeil.
Cette histoire t’as donné envie ? Malheureusement, il y a beaucoup de cases à cocher pour devenir un “rêveur laitier” : avoir 21 ans, posséder une montre connectée, avoir des horaires de sommeil réguliers, être seul dans son lit, ne pas avoir d'intolérance au lactose et surtout, vivre aux États-Unis. Exit les jeunes, les couples, les insomniaques et les non-Américains. Mais on a bien le droit de rêver un peu, non ?