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Couvre-feu national à 18h dès ce samedi

Publié le 14 janvier 2021 à 17h32

Modifié le 14 janvier 2021 à 18h25

par La Rédac'

Chaque semaine, un Conseil de Défense sur le Covid-19 est organisé pour mettre en place de nouvelles mesures afin de limiter la pandémie en France. Deux semaines après les fêtes de fin d’année, le Premier ministre Jean Castex a donc pris la parole pour faire un point sur la situation et annoncer de nouvelles restrictions.

Couvre-feu à 18h

C’était une nouvelle prise de parole très attendue. Alors que la France s’inquiète de la propagation des variants du virus, Jean Castex a annoncé un couvre-feu national à 18h dès le samedi 16 janvier et pour une durée d'au moins deux semaines. Vingt-cinq départements étaient déjà soumis à cette mesure mais le gouvernement semble vouloir « reprendre des mesures nationales pour éviter d’avoir une France à deux vitesses ». Les musées, cinémas, théâtres, salles de spectacle et de sport ainsi que les restaurants et les bars resteront fermés jusqu’à la fin du mois de janvier. Chacun devra être chez soi dès 18h. "Tous les lieux recevant du public seront aussi fermés à 18 heures", précise Jean Castex. Les dérogations ne changent donc pas par rapport à la situation actuelle. Le Premier ministre encourage également les commerces à étendre leurs heures d'ouverture sur la pause déjeuner et le week-end pour éviter les rassemblements trop important de personnes dans ces lieux en fin de journée.

Tests obligatoires pour tous les voyageurs 

"Nous allons durcir fortement les contrôles en frontière", affirme Jean Castex. Des tests devront donc être réalisés par tous les voyageurs arrivant d'un pays hors de l'Union européenne dès lundi prochain. Les voyageurs provenant de certains pays de l'Union européenne ne seront pas concernés pour l'instant. Concernant l'Outre-mer, des tests seront désormais obligatoires au retour de ces destinations vers l'hexagone, comme au départ de la métropole.

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Le studio Universal va ouvrir son premier parc d’attractions en Europe en 2031

Publié aujourd'hui à 07h20

Modifié aujourd'hui à 07h20

par Flora Gendrault

La ville de Bedford, située à 80 kilomètres au nord de Londres, va accueillir « l’un des plus grands parcs de divertissement d’Europe », comme l’a annoncé ce mercredi 9 avril au matin le Premier ministre britannique Keir Starmer. L’investissement, « de plusieurs milliards de livres », devrait créer « quelques 28 000 emplois dans les secteurs de la construction, l’intelligence artificielle et le tourisme », espère Downing Street.


Un sixième parc Universal dans le monde

Ce parc sera le sixième du genre dans le monde et le tout premier sur le sol européen, Universal étant déjà présent à Los Angeles, Orlando, Pékin, Osaka et Singapour. « Nous sommes plus qu’enthousiastes à l’idée de franchir cette étape très importante dans notre plan visant à créer un incroyable parc à thème au cœur du Royaume-Uni, qui complète notre activité croissante de parcs aux États-Unis, en étendant notre territoire à l’Europe », réagit Mike Cavanagh, président de Comcast Corporation, maison-mère d’Universal Studios, dans le communiqué. Les négociations entre Londres et Comcast duraient depuis plusieurs décennies.

Si le montant de l’accord n’a pas été révélé, le gouvernement britannique estime que le projet pourrait générer jusqu’à 50 milliards de livres (soit environ 58 milliards d’euros) pour l’économie d’ici 2055, avec plus de 8,5 millions de visiteur·ses attendu·es dès la première année d’exploitation.


Des attractions inspirées des plus grandes sagas

Le parc, qui s’étendra sur plus de 200 hectares, promet une immersion totale dans l’univers des plus grandes franchises du studio hollywoodien : les Minions, Jurassic World, Fast & Furious ou encore Harry Potter. Desservi par les transports en commun, le site sera accessible en un peu plus d’une heure de train depuis la gare de Saint-Pancras, à Londres – qui permet aussi des liaisons Eurostar avec Paris, Bruxelles ou Amsterdam.

Au programme : manèges spectaculaires, expériences immersives, spectacles et un hôtel de 500 chambres. Si la liste définitive des attractions reste confidentielle, la presse britannique évoquait déjà en 2023 la possible présence de l’ours Paddington, véritable icône au Royaume-Uni. Promis, on reste sur le coup, et on vous dira tout. 


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