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Les USA seraient en possession d’ovnis selon un ancien officier du renseignement

Publié le 27 juillet 2023 à 12h13

Modifié le 27 juillet 2023 à 14h28

par Lucie Guerra

Vous vous êtes déjà demandé si nous étions les seuls dans l’univers ? Si les extraterrestres sont une simple légende ou s’ils existent vraiment ? Et bien figurez-vous que c’est une question qui fait actuellement débat aux États-Unis.

Mercredi 26 juillet, David Grusch, ancien officier du renseignement de l’Air Force et de la National Geospatial Intelligence Agency, s’est exprimé devant le Congrès américain, affirmant qu’il est « absolument » convaincu qu’un objet volant non identifié (ovni) serait détenu par les États-Unis. « Dans le cadre de mes fonctions, j’ai appris qu’il existait un programme [...] visant à récupérer les restes d’un appareil non identifié et de l’analyser », affirme David Grusch. 

Véritable « lanceur d'alerte »

Si de tels propos pourraient laisser perplexe et faire penser à une théorie du complot, ils sont en réalité émis par un professionnel de l’armée de l’air américaine. En fonction pendant 14 ans, David Grusch a eu accès à de nombreuses informations classifiées

Dans un entretien accordé au Parisien en juin dernier, celui qui se qualifie de « lanceur d’alerte », suggère notamment que les États-Unis ont « récupéré des fragments d’objets et des objets exotiques », qui se sont avérés être des « objets non humains »

« Ce témoignage est fondé sur des informations qui m’ont été transmises par des individus dont les antécédents de légitimité et de services rendus à ce pays sont connus et beaucoup ont partagé avec moi des preuves convaincantes, sous forme de photographies, de documents officiels et de témoignages oraux couverts par le secret », révèle-t-il devant la Chambre des représentants.

Si ce n’est pas humain, c’est quoi ?

D’où proviennent ces objets non identifiés ? C’est la question qui reste en suspens. « Ça peut être extraterrestre ou ça peut être autre chose, venant d’autres dimensions telles que décrites par la mécanique quantique », précise l’ancien officier du renseignement au Parisien

Nécessité d’informer le public

Si l’homme est toujours tenu par son « accord de confidentialité avec le gouvernement américain », David Grusch a souhaité prendre la parole pour informer sur un sujet qu’il considère d’utilité générale. « J’ai pensé que le public méritait de connaître certains faits. Il y a des questions que les humains se posent depuis des générations. Si les États-Unis et leurs alliés détiennent des éléments de réponses, ça me parait mal, éthiquement, de garder ça secret », a-t-il confié au Parisien.

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Le modèle du discount low-cost est-il en train de vaciller ? Face à des difficultés financières, Gifi a décidé de se recentrer sur sa rentabilité en réduisant la voilure. L’annonce est tombée ce jeudi : la marque aux « idées de génie » ferme 11 de ses magasins en France, dont celui du centre-ville de Toulouse. Ouvert au coeur du quartier Saint-Georges, ce point de vente incarnait l’ambition de Gifi de s’implanter au plus près des consommateurs urbains.

302 suppressions de postes chez Gifi

Mais la conjoncture économique n’a pas joué en sa faveur. Le groupe met en place un plan de sauvegarde de l’emploi qui entraînera la suppression de 302 postes, soit 5 % des effectifs totaux. Officiellement, l’objectif est de « se recentrer sur la performance de son modèle discount et ses clients », mais difficile de ne pas voir dans cette décision une réponse à une rentabilité fragilisée par l’inflation et la concurrence accrue du secteur.

Pour les Toulousains amateurs de déco à petits prix, il faudra désormais se tourner vers les autres magasins de la marque en périphérie qui resteront ouverts (Gifi Purpan, route de Bayonne ; Gifi Toulouse – Portet, route d’Espagne ; Gifi Toulouse Compans, dans le centre commercial Reflets Compans). Une page se tourne dans le quartier Saint-Georges, où l’on guette déjà l’arrivée du prochain occupant des lieux...


Source : Actu Toulouse


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