863kydgdmi

Le rire français vu par les étrangers

Publié le 16 mars 2017 à 00h00

Modifié le 16 mars 2017 à 18h10

par La Rédac'

Saviez-vous que les rires pouvaient être perçus différemment d’un pays à l’autre ? Celui des Français a carrément sa place dans le Urban Dictionary. « Hon hon hon », voire « ron hon hon » serait donc la sympatique onomatopée du rire français.


Flatteur ? Bof. Arrogant, certainement. C’est en tout cas un stéréotype bien ancré dans la culture populaire américaine. Présent dans les séries comme Flight of the Conchords ou Family Guy, et même dans les mèmes, le « hon hon hon » fait partie de ces clichés collants.

Alors d’où vient ce drôle de rire signature ? L'Internet entier se pose la question, sans réponse. Alors The Local, conscient que ce son n’est pas celui qui sort de la bouche des Français, a tenté d’en trouver l’origine avec l'aide des enquêtes de la blogueuse Emily the Glass.


Merci à Maurice Chevallier

Le chanteur avait un accent à couper au couteau et une carrière qui s’est étendue sur une grande partie du XXe siècle. Et apparemment, son rire ressemblait à « Hon, hon, hon ». En témoigne cette vidéo Disney où le personnage représentant M. Chevallier s’esclaffe à 1:30. 


Depuis, le rire a fait son bout de chemin dans la culture anglophone. On peut le ré-entendre dans La Petite Sirène à 00:30 secondes.


Mais notre préféré reste le "Jacques Hammér" dans Family Guy.


Si vous avez d'autres explications quant à cette onomatopée, nous sommes tout ouïe. 

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
djdjd

Le studio Universal va ouvrir son premier parc d’attractions en Europe en 2031

Publié aujourd'hui à 07h20

Modifié aujourd'hui à 07h20

par Flora Gendrault

La ville de Bedford, située à 80 kilomètres au nord de Londres, va accueillir « l’un des plus grands parcs de divertissement d’Europe », comme l’a annoncé ce mercredi 9 avril au matin le Premier ministre britannique Keir Starmer. L’investissement, « de plusieurs milliards de livres », devrait créer « quelques 28 000 emplois dans les secteurs de la construction, l’intelligence artificielle et le tourisme », espère Downing Street.


Un sixième parc Universal dans le monde

Ce parc sera le sixième du genre dans le monde et le tout premier sur le sol européen, Universal étant déjà présent à Los Angeles, Orlando, Pékin, Osaka et Singapour. « Nous sommes plus qu’enthousiastes à l’idée de franchir cette étape très importante dans notre plan visant à créer un incroyable parc à thème au cœur du Royaume-Uni, qui complète notre activité croissante de parcs aux États-Unis, en étendant notre territoire à l’Europe », réagit Mike Cavanagh, président de Comcast Corporation, maison-mère d’Universal Studios, dans le communiqué. Les négociations entre Londres et Comcast duraient depuis plusieurs décennies.

Si le montant de l’accord n’a pas été révélé, le gouvernement britannique estime que le projet pourrait générer jusqu’à 50 milliards de livres (soit environ 58 milliards d’euros) pour l’économie d’ici 2055, avec plus de 8,5 millions de visiteur·ses attendu·es dès la première année d’exploitation.


Des attractions inspirées des plus grandes sagas

Le parc, qui s’étendra sur plus de 200 hectares, promet une immersion totale dans l’univers des plus grandes franchises du studio hollywoodien : les Minions, Jurassic World, Fast & Furious ou encore Harry Potter. Desservi par les transports en commun, le site sera accessible en un peu plus d’une heure de train depuis la gare de Saint-Pancras, à Londres – qui permet aussi des liaisons Eurostar avec Paris, Bruxelles ou Amsterdam.

Au programme : manèges spectaculaires, expériences immersives, spectacles et un hôtel de 500 chambres. Si la liste définitive des attractions reste confidentielle, la presse britannique évoquait déjà en 2023 la possible présence de l’ours Paddington, véritable icône au Royaume-Uni. Promis, on reste sur le coup, et on vous dira tout. 


À LIRE AUSSI