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Une nouvelle ligne de métro va voir le jour en 2028 à Toulouse

Publié le 20 septembre 2024 à 18h00

par Camille Miranda

Bonne nouvelle pour tous les usagers des transports en commun, la nouvelle Ligne C promet de transformer les trajets quotidiens de milliers d’habitants de la métropole toulousaine. Plus question de rester coincé dans les bouchons entre Colomiers et Toulouse, ou de désespérer en cherchant une place de parking à Labège. En seulement 20 minutes chrono, ce super-métro va connecter Colomiers, Blagnac, Toulouse et Labège, en passant par 21 stations bien réparties sur 27 km. 

Une révolution pour les travailleurs

Pour les travailleurs, c'est une petite révolution. En plus de faciliter la vie de ceux qui galèrent chaque jour sur le périphérique, la Ligne C va relier les principaux bassins d'emplois et zones d’activités. Et pour ceux qui aiment voyager en toute tranquillité, la ligne va aussi connecter les lignes A et B du métro, ainsi que le tramway T1. 

5 gares desservies

En plus de faciliter la vie des usagers du quotidien, la Ligne C va desservir cinq gares multimodales. Du nord au sud, de l'ouest à l'est, tout Toulouse va rayonner grâce à cette nouvelle ligne. Les habitants de Colomiers, Aucamville, Saint-Orens et même Montauban auront enfin une solution pour éviter le périph'. Gare de Matabiau incluse, bien sûr, pour les grands voyageurs qui veulent filer vers Paris ou d’autres grandes villes françaises. La Ligne C, c'est aussi un projet vert : moins de pollution avec 90 000 véhicules en moins par jour et 28 700 tonnes de CO2 économisées par an. En bonus : 5 000 arbres plantés autour des stations, pour des trajets plus frais et agréables !

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Le studio Universal va ouvrir son premier parc d’attractions en Europe en 2031

Publié aujourd'hui à 07h20

Modifié aujourd'hui à 07h20

par Flora Gendrault

La ville de Bedford, située à 80 kilomètres au nord de Londres, va accueillir « l’un des plus grands parcs de divertissement d’Europe », comme l’a annoncé ce mercredi 9 avril au matin le Premier ministre britannique Keir Starmer. L’investissement, « de plusieurs milliards de livres », devrait créer « quelques 28 000 emplois dans les secteurs de la construction, l’intelligence artificielle et le tourisme », espère Downing Street.


Un sixième parc Universal dans le monde

Ce parc sera le sixième du genre dans le monde et le tout premier sur le sol européen, Universal étant déjà présent à Los Angeles, Orlando, Pékin, Osaka et Singapour. « Nous sommes plus qu’enthousiastes à l’idée de franchir cette étape très importante dans notre plan visant à créer un incroyable parc à thème au cœur du Royaume-Uni, qui complète notre activité croissante de parcs aux États-Unis, en étendant notre territoire à l’Europe », réagit Mike Cavanagh, président de Comcast Corporation, maison-mère d’Universal Studios, dans le communiqué. Les négociations entre Londres et Comcast duraient depuis plusieurs décennies.

Si le montant de l’accord n’a pas été révélé, le gouvernement britannique estime que le projet pourrait générer jusqu’à 50 milliards de livres (soit environ 58 milliards d’euros) pour l’économie d’ici 2055, avec plus de 8,5 millions de visiteur·ses attendu·es dès la première année d’exploitation.


Des attractions inspirées des plus grandes sagas

Le parc, qui s’étendra sur plus de 200 hectares, promet une immersion totale dans l’univers des plus grandes franchises du studio hollywoodien : les Minions, Jurassic World, Fast & Furious ou encore Harry Potter. Desservi par les transports en commun, le site sera accessible en un peu plus d’une heure de train depuis la gare de Saint-Pancras, à Londres – qui permet aussi des liaisons Eurostar avec Paris, Bruxelles ou Amsterdam.

Au programme : manèges spectaculaires, expériences immersives, spectacles et un hôtel de 500 chambres. Si la liste définitive des attractions reste confidentielle, la presse britannique évoquait déjà en 2023 la possible présence de l’ours Paddington, véritable icône au Royaume-Uni. Promis, on reste sur le coup, et on vous dira tout. 


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