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Une victime et son violeur racontent leur histoire bouleversante sur scène

Publié le 10 février 2017 à 00h00

Modifié le 10 février 2017 à 18h11

par La Rédac'

En voilà une belle leçon de tolérance. Une victime de viol et son agresseur, après des années de silence, puis de lettres échangés, ont fini par se réconcilier. Ils partagent leur histoire émouvante, douloureuse, mais pleine d’espoirs sur la scène d’une conférence TED. Vidéo qui a comptabilisé près de 700 000 vues sur Youtube.

Sur la scène d’une conférence TED, Thordis Elva raconte le viol qu’elle a subi. L’homme a ses côtés n’est autre que l’auteur du viol. Lui aussi, sans non plus passer pour une victime, raconte les faits, ses regrets, son traumatisme. Une scène rarissime qui transmet un message fort. Et pour cause, en seulement 2 jours la vidéo a été vue plus de 700 000 fois.

Les deux se sont rencontrés lors d’un échange universitaire en Islande, en 1996 alors que lui a 18 ans (Australien) et elle 16 ans (Islandaise). Amoureux, ils passent le bal de Noël ensemble et elle goûte pour la première fois du rhum qui passe plutôt mal. Elle fini plus ou moins inconsciente. Lui, prince charmant, la ramène chez elle. Il dérape, la déshabille contre son grès. 

Ils racontent comment ils ont réussi à se parler huit ans après le viol, après de nombreux symptomes post-traumatiques, à échanger des lettres, à se rencontrer à nouveau en Afrique du Sud, puis à écrire un livre à quatre mains sur leur histoire. 

La leçon à retenir de ce duo : apprendre à ne pas mettre la victime dans la case « victime », et ceux qui perpétuent ce genre de crimes dans la case « monstres pour la vie ». De laisser la parole à la victime, mais aussi aux agresseurs. Pour conclure, l’Islandaise pose la question : « comment pouvons-nous comprendre ce qui produit de la violence dans nos sociétés si nous refusons de reconnaître l’humanité de ceux qui la commettent » ?

On salue le courage de ce duo improbable. 

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Une magnifique pleine lune rose va être observable à Toulouse ce week-end

Publié hier à 19h00

par Camille Miranda

À 2h22 du matin, pile à l’heure où tu hésites entre aller te coucher ou te refaire un dernier épisode de ta série préférée, la pleine lune d’avril pointera le bout de son nez. Rose bonbon ? Mmmmh on va dire ça. Si tu espères voir un gros chewing-gum suspendu dans le ciel, tu risques d’être un peu déçu. En réalité, elle gardera son teint habituel, avec (pour les plus attentifs) une légère teinte poudrée, mais ça reste subtil alors t’enflammes pas !

Pour l’observer correctement à Toulouse, direction la colline de Pech-David, le jardin Raymond VI ou même les bords de Garonne pour une vue dégagée et romantique à souhait. N’oublie pas une petite couverture, un thermos de thé bien chaud (ou une bière, selon ton mood). Tu n’auras plus qu’à admirer le spectacle !

Pourquoi l’appelle-t-on “lune rose” alors ?

Le nom vient tout simplement d’une fleur : le phlox rose, qui fleurit en Amérique du Nord à cette période. Bon, on est d’accord, ça sonne bien mieux de dire “pleine lune rose” que “pleine lune de la phlox”, et puis c’est aussi une manière poétique de marquer l’arrivée du printemps.

Allez, vu que ça me titille, je te fais un point astrologie : la pleine lune rose, c’est la reine des cœurs. Elle est associée à l’amour, aux connexions humaines et à l’équilibre. Cette année, elle tombe en Balance, signe de la diplomatie et de l’harmonie. L’occasion parfaite pour calmer les tensions, se recentrer sur ses relations, ou déclarer sa flamme…


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