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Après un passage remarqué à New York, le Toulousain James Colomina et son enfant au masque rouge sont de retour dans la ville rose

Publié le 22 juin 2018 à 14h55

Modifié le 22 juin 2018 à 15h41

par Arnaud Mourier

Quatre oeuvres du street artist sont en ce moment visibles dans la ville rose et ce dans un cadre bien précis. Les plus attentifs et observateurs les auront peut-être même déjà remarquées. On vous dit tout sur ces quatre oeuvres au rouge bien prononcé et sur ce qu'elles font là.


C'est dans le cadre du festival #31Street que quatre sculptures de James Colomina ont fait leur apparition à Toulouse, éparpillées un peu partout dans la ville et dans la légalité la plus totale.

Le festival #31Street a lieu jusqu'au 15 juillet et met à l'honneur dix artistes dans les rues toulousaines avec notamment les présences de Reso et Chat Maigre.

James Colomina a tout de suite accepté l'invitation, lui qui a également prévu de participer aux prochain Mister Freeze et pour avoir la chance de découvrir ses oeuvres autrement qu'à travers des photos il va falloir se rendre dans deux endroits. 

En effet, trois d'entre elles sont à voir dans l'enceinte du Conseil Départemental de la Haute-Garonne à savoir L'Otage, La Petite Fille qui Respire et Le Gisant.

Pour ce qui est de La Petite Observatrice, elle observe tout simplement la rue depuis la Chambre de Commerce et de l'Industrie, dans le centre.

Cette dernière, le street artist l'avait prise avec lui à New York il y a quelques semaines où deux galeries se sont montrées intéressées par son travail. En attendant la concrétisation de ce rêve américain, La Petite Observatrice sera bientôt dans les rues de Paris.

Cependant James Colomina devrait vite revenir (encore une fois) à Toulouse, sa ville, celle où il vit et tient son atelier.

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Une magnifique pleine lune rose va être observable à Toulouse ce week-end

Publié hier à 19h00

par Camille Miranda

À 2h22 du matin, pile à l’heure où tu hésites entre aller te coucher ou te refaire un dernier épisode de ta série préférée, la pleine lune d’avril pointera le bout de son nez. Rose bonbon ? Mmmmh on va dire ça. Si tu espères voir un gros chewing-gum suspendu dans le ciel, tu risques d’être un peu déçu. En réalité, elle gardera son teint habituel, avec (pour les plus attentifs) une légère teinte poudrée, mais ça reste subtil alors t’enflammes pas !

Pour l’observer correctement à Toulouse, direction la colline de Pech-David, le jardin Raymond VI ou même les bords de Garonne pour une vue dégagée et romantique à souhait. N’oublie pas une petite couverture, un thermos de thé bien chaud (ou une bière, selon ton mood). Tu n’auras plus qu’à admirer le spectacle !

Pourquoi l’appelle-t-on “lune rose” alors ?

Le nom vient tout simplement d’une fleur : le phlox rose, qui fleurit en Amérique du Nord à cette période. Bon, on est d’accord, ça sonne bien mieux de dire “pleine lune rose” que “pleine lune de la phlox”, et puis c’est aussi une manière poétique de marquer l’arrivée du printemps.

Allez, vu que ça me titille, je te fais un point astrologie : la pleine lune rose, c’est la reine des cœurs. Elle est associée à l’amour, aux connexions humaines et à l’équilibre. Cette année, elle tombe en Balance, signe de la diplomatie et de l’harmonie. L’occasion parfaite pour calmer les tensions, se recentrer sur ses relations, ou déclarer sa flamme…


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