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Comment Toulouse compte lutter contre le moustique tigre

Publié le 23 avril 2019 à 17h34

Modifié le 25 avril 2019 à 18h02

par Arnaud Mourier

Tous les ans c'est la même rengaine. Ils sont de retour, ils viennent nous faire chier le jour comme la nuit et on dirait que les choses ont du mal à changer. Pourtant c'est pas faute de tenter des trucs, de tout tenter pour s'en débarrasser une bonne fois pour toute. Vous savez très bien de qui on parle. Il s'agit effectivement des moustiques tigres, ces petits bâtards qui font flipper pour de bonnes raisons, c'est peut-être ça le pire en fait.


Pour vous donner un ordre d'idée, en 2018 on a recensé plusieurs cas de dengue et pire, deux cas de chikungunya, le tout en Occitanie. Flippant hein ? 

Pour cette année et maintenant que l'hiver est passée, on ne devrait pas tarder à voir les oeufs de moustiques tigres éclore. Après ça, leurs 30 jours de durée de vie feront le reste, à savoir nous emmerder.

Alors voilà, on attend des solutions et elles arrivent, rassurez-vous (un peu).

Et comme on aime un peu la nature et la santé des gens on va éviter les trucs trop chimiques mais il faut bien trouver un ou plusieurs moyens de dégager les moustiques les plus dangereux que l'on connaisse (si vous en connaissez d'autres c'est votre droit mais c'est pas de bol).

La ville de Toulouse a décidé de commencer soft avec deux grosses vagues de prévention début mai et début juillet et on va donc avoir droit à de grandes campagnes nous rappelant  qu'il faut vider les bacs, les poubelles, faire gaffe aux eaux stagnantes... Le genre de chose que l'on sait mais qu'il est toujours bon de revoir un peu.

Pour celles et ceux qui attendent des méthodes un peu plus concrètes (ou définitives, ou violentes, c'est comme vous voulez), sachez que des actions d'éradication permanente sont menées sur des spots dont s'occupe la mairie.

101 sont surveillés et parmi eux 82 ont été traités l'année dernière et le seront encore cette année.

On va également assister à l'installation de moustiquaires dans 34 crèches et 2150 plantes repulsives seront à terme plantées pendant que 100 gîtes pour chauves-souris sont en train de voir le jour. Oui, les moustiques sont nos amis contre les moustiques tigres.

Enfin, des bornes anti-moustiques et des climatiseeurs vont être placés dans des endroits stratégiques.

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Une magnifique pleine lune rose va être observable à Toulouse ce week-end

Publié hier à 19h00

par Camille Miranda

À 2h22 du matin, pile à l’heure où tu hésites entre aller te coucher ou te refaire un dernier épisode de ta série préférée, la pleine lune d’avril pointera le bout de son nez. Rose bonbon ? Mmmmh on va dire ça. Si tu espères voir un gros chewing-gum suspendu dans le ciel, tu risques d’être un peu déçu. En réalité, elle gardera son teint habituel, avec (pour les plus attentifs) une légère teinte poudrée, mais ça reste subtil alors t’enflammes pas !

Pour l’observer correctement à Toulouse, direction la colline de Pech-David, le jardin Raymond VI ou même les bords de Garonne pour une vue dégagée et romantique à souhait. N’oublie pas une petite couverture, un thermos de thé bien chaud (ou une bière, selon ton mood). Tu n’auras plus qu’à admirer le spectacle !

Pourquoi l’appelle-t-on “lune rose” alors ?

Le nom vient tout simplement d’une fleur : le phlox rose, qui fleurit en Amérique du Nord à cette période. Bon, on est d’accord, ça sonne bien mieux de dire “pleine lune rose” que “pleine lune de la phlox”, et puis c’est aussi une manière poétique de marquer l’arrivée du printemps.

Allez, vu que ça me titille, je te fais un point astrologie : la pleine lune rose, c’est la reine des cœurs. Elle est associée à l’amour, aux connexions humaines et à l’équilibre. Cette année, elle tombe en Balance, signe de la diplomatie et de l’harmonie. L’occasion parfaite pour calmer les tensions, se recentrer sur ses relations, ou déclarer sa flamme…


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